Vraie nature…

22 mars 2014

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« … Les paysans lisent l’almanach. Quoi de plus beau pour eux ? Les jours qui viennent et les mois et les saisons, ce sont des jalons pour leurs projets. De l’année qui va suivre, on connaît d’avance certaines choses. D’abord ce qui est comme immuable, c’est à dire le départ et le retour des étoiles ; tel est le squelette de l’almanach. Une année, c’est un tour complet des étoiles (…) Les étoiles marquent les heures aussi ; les pilotes de Virgile suivaient les mouvements de la Grande Ourse autour de l’étoile Polaire ; ce mouvement indique à la fois l’heure et la saison ; au cours d’une année, le minuit de la Grande Ourse fait le tour du cercle ; en ce moment, et au commencement de la nuit, la Grande Ourse est presque au zénith ; cette grande aiguille marque la saison, le temps où le merle siffle, où les narcisses sont fleuris. Il en est de même tous les ans. Ce n’est pas un petit travail que d’expliquer la relation entre l’Ourse qui tourne au ciel et l’oiseau qui fait son nid ; mais encore faut-il commencer par le remarquer, je dirais même par l’admirer. Je crois que les hommes des champs ont un peu trop oublié ce regard vers les étoiles, qui apprit à l’homme les lois les plus simples. Les anciens savaient qu’Arcturus , qu’on nomme aussi le Bouvier, paraît le soir au temps des labours printaniers, et disparaît quand la saison froide et pluvieuse s’avance. Cette science paysanne s’efface. Le laboureur lit le journal. C’est la ville qui imprime l’almanach ; et, à la place des mois qui sont au ciel, elle nous dessine des casiers sans couleur, des semaines et des dimanches selon le commerce et les échéances. Heureusement, la nature célèbre aussi Noël et Pâques ; heureusement, la fête des Rameaux est écrite dans les bois. N’empêche que l’almanach des villes est un autre almanach. Dans l’almanach auquel je rêve, on verrait l’année tourner sur ses gonds ; c’est ouvrir les grandes portes sur l’avenir, et élargir l’espérance. Les hommes seraient plus près d’être poètes, et plus généreux, s’ils ne cessaient de lier leurs travaux à ce grand Univers … »

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Et qu’aurait-il pu dire sur l’agriculteur de notre époque ?

Extrait de : « Propos sur la nature »  Émile Chartier dit  Alain 1868-1951.

Tableaux : 1/« Peine floraison »   Hugo Darnaut 1851-1937  2/« Printemps à Eller » Hugo Mühlig 1854-1929.

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Se re-lier au cosmos…

BVJ – Plumes d’Anges.

Assieds-toi…

19 mars 2014

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« … Prends soin de toi. Chaque fois que, en grandissant, tu auras envie de transformer les erreurs en justice, souviens-toi que la première révolution à accomplir se trouve à l’intérieur de soi, la première et la plus importante. Lutter pour une idée sans avoir aucune idée de soi est l’une des choses les plus dangereuses que l’on puisse faire.

Chaque fois que tu te sentiras perdue, indécise, pense aux arbres, souviens-toi de leur façon de pousser. Souviens-toi qu’un arbre avec beaucoup de feuillage et peu de racines peut être déraciné au moindre coup de vent, tandis que, dans un arbre avec beaucoup de racines et peu de feuillage, la sève court difficilement. Racines et feuillages doivent pousser dans les mêmes proportions, tu dois être dans les choses et au-dessus, ainsi seulement tu pourras offrir ombre et refuge, te couvrir de fleurs et de fruits quand ce sera la saison.

Et puis, quand plusieurs routes s’offriront à toi et que tu ne sauras pas laquelle choisir, n’en prends pas une au hasard, mais assieds-toi et attends. Respire profondément, avec confiance, comme le jour où tu es venue au monde, sans te laisser distraire par rien, attends encore et encore. Ne bouge pas, tais-toi et écoute ton cœur. Puis, quand il te parlera, lève-toi et va où il te porte. »

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Extrait de : « Va où ton cœur te porte » 1994  Susanna Tamaro.

Illustrations : 1/« Portrait de sa fille Jaroslava »  Alfons Mucha 1860-1939  2/ « Flore des serres et des jardins d’Europe »  Louis van Houtte 1810-1876.

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Se poser un temps pour emprunter le bon chemin…

BVJ – Plumes d’Anges.

Nombre décisif…

17 mars 2014

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Une belle histoire qui devient réalité…

—–> ICI

Patience, patience, tout arrive,

les grands changements que nous aimerions voir dans le monde sont possibles,

un chemin se dessine, le nouveau émerge,

il nous faut y croire !

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Vidéo : You Tube « le centième singe »

Illustrations : 1/« Portrait d’un singe » 2/« Oiseau, pavots, libellule et abeille » Peintures indiennes du XVIIème.

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Se défaire de nos vieilles habitudes…

BVJ – Plumes d’Anges.


Paix de l’espace…

14 mars 2014

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Elysium Mons…

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Tyrrhena Terra…

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Candor Chasma…

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Noctis Labyrinthus…

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Appolinaris Patera…

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Utopia Planitia…

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Pardonnez mon égarement ! Cet univers minéral était si insolite
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que mon esprit vagabondait sur la planète Mars.

La bonne nouvelle, c’est qu’il y avait de l’eau !

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BEAU WEEK END À TOUTES ET À TOUS,

PARTEZ À L’AVENTURE DANS DES ESPACES DE PAIX !

Photos BVJ

(entre les plages de la Garonne et celle des Bonnettes dans le Var)

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Naviguer vers d’autres espaces…

BVJ – Plumes d’Anges.

Bruyants silences…

12 mars 2014

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« C’est le grand silence de la vie

qui me tinte aux oreilles.

C’est vilain silence qui glapit

rien qu’à lui-même pareil.

C’est bruyant silence de la foule

caquetant tout son saoul.

C’est parfait silence de parlotes

où chacun radote.

Et dans ce guignol

qui ricane

qui rigole

qui me suit

me poursuit

et encore mieux m’isole,

c’est le dur silence de la vie

qui me tinte aux oreilles. »

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« Bruyants silences » extrait de « Ballades et réflexions à ma façon » 1978  Esther Granek.

Tableau : « Fleurs blanches et poupée japonaise »  Olga Boznanska 1865-1940.

Trois ans se sont écoulés depuis le 11 mars 2011,

il nous faut espérer que le monde tire les leçons de ce drame…

UN BRUYANT SILENCE S’EST ABATTU,

des hommes souffrent dans leur chair,

ils luttent et continuent à donner leur vie pour nous tous

et d’autres, avec folie et arrogance, font des affaires financières et politiques,

font des choix sans la moindre humanité …

Pourtant nous sommes nombreux à penser

que l’être humain devrait passer avant les intérêts ou la gloire de certains :

n’est-il pas temps de changer de chemin ?

Cette course à la consommation qui s’accompagne d’énormes besoins énergétiques ne doit-elle pas ralentir ?

Une autre destination est possible, il nous faut la vouloir.

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Changer notre chemin de vie…

BVJ – Plumes d’Anges.

Espoirs…

10 mars 2014

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« … Il existe sur cette planète des êtres accomplis, merveilleux, non parce qu’ils ont collectionné les diplômes, mais parce qu’ils sont comme ça, dans leur nature même. Cependant, encore une fois, le cadre dans lequel nous vivons n’encourage pas vraiment à cela. Lorsqu’une nation fonctionne sur la compétitivité, elle n’engage pas l’homme à s’améliorer. Nous naissons tous de la même façon, certains sur de la terre battue et d’autres dans des palais. Mais notre condition humaine est la même. L’un est noir, l’autre blanc, le troisième jaune… c’est tout ce qui nous différencie. Après, ces êtres sont abîmés parce qu’on les fait entrer petit à petit dans la comparaison, dans la compétition. Je crois profondément que nous portons tous en nous un héritage inconscient qui nous a été donné, imposé par nos aïeux. Nos parents nous transmettent l’idéologie, la logique ou le mode d’existence qu’ils ont reçus. Or, je pense qu’on ne doit pas angoisser l’enfant, mais lui dire au contraire : « Voilà l’autre, ce n’est pas ton rival mais ton complément. » Et je ne parle pas du statut des femmes ! Au nom de quoi l’histoire les a-t-elle subordonnées et continue-t-elle à le faire alors que ce sont bien deux énergies, féminine et masculine, qui font que nous existons ? Il s’agit là d’un des plus grands facteurs de déséquilibre que l’humanité doit résoudre…

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… Peu à peu, j’ai pris conscience que la vie est un chemin initiatique, du moins l’ai-je prise comme tel. Géographiquement, physiquement, on a l’impression de rester immobile. Mais elle nous fait avancer au plan intérieur, au plan de nos concepts, de nos perceptions. Alors, soit on prend les évènements qui nous arrivent comme des faits ordinaires défilant les uns après les autres selon la loi du hasard, soit on estime qu’ils sont porteurs de signes. Et moi, j’ai eu peut-être la chance de comprendre assez vite que tout ce qui m’arrivait, de bon ou de moins bon, formait un ensemble d’éléments qui présidait à mon évolution. Alors, soit je me place dans une posture plaintive – « Qu’est-ce que j’ai fait au bon Dieu pour qu’il m’arrive cela ? » – , soit je me dis : « Ce qui m’arrive exprime un message que je dois décrypter. »…

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… Je rêverais de congrès internationaux qui réuniraient les enfants du monde pour les aider à prendre conscience de leur identité planétaire, et les préparer ainsi à l’estime mutuelle, à la solidarité au sein de la maison commune…

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… Dire que certains prétendent imposer la paix avec des chars d’assaut, des avions de guerre, des bombes atomiques ! Quelle aberration. Lorsque, à l’école, les maîtres exaltent l’héroïsme guerrier et qu’on apprend aux enfants le garde-à-vous, le salut militaire, comment voulez-vous y arriver ? On pourrait pourtant s’attaquer aux racines du mal en commençant par apprendre aux élèves à se montrer généreux les uns envers les autres. Demain, à la place de la concurrence, de la compétitivité, des éternelles comparaisons entre le bon et le mauvais, le supérieur et l’inférieur, le dominant et le dominé, il serait possible d’instaurer une pédagogie de la paix où les valeurs seraient mutualisées à l’avantage de tous. Aucun être ne doit être subordonné à un autre. Pas plus la femme que l’enfant…

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… Une chose pourtant est claire dans mon esprit : je donne ce que je reçois et ne suis pas la source du bien mais son serviteur. Je crois en l’existence d’un monde positif, en un monde lumineux, en un monde beau que nous ne cessons d’abîmer, de transformer en enfer…

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… Je suis comblé d’émerveillement en observant les miracles de la nature, le ciel, cela semble banal, le ciel, et pourtant ça ne l’est pas. Et dans ce domaine, oui, chaque jour je découvre du nouveau, un peu comme s’il s’agissait d’une sorte de voie initiatique illimitée, et cette voie-là n’a pas d’objectif, de destination, ce n’est que du chemin. Malgré cela, je ressens au fond de mon être comme une souffrance en me disant que le monde, la vie, les êtres humains pourraient être autrement. Je porte cela en moi, à la fois l’émerveillement et la déception, beaucoup d’interrogations sans réponse mais aussi d’aspirations. Ce sont les aspirations qui nous maintiennent dans l’action. On aspire toujours à quelque chose.  On pourrait faire mieux, on peut faire mieux…

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… Je reste fasciné par ce mot – « harmonie » – et tout ce qu’il suggère. J’ai beaucoup goûté, étant enfant, sous les cieux nocturnes du désert, la clarté lunaire et la voûte céleste avec ses constellations plus éclatantes que nulle part ailleurs. Rien de plus fascinant que le ciel. Le regarder nous mène aux portes de l’univers tout entier et c’est vertigineux. On comprend mieux pourquoi l’immense vacuité nous manque dans ce monde d’effervescence tapageuse, car tout cela est poésie. Il faudra que l’écologie, en plus de ses considérations factuelles qui font appel à des comportements respectueux de la vie, intègre la dimension immatérielle qui s’ouvre sur l’infini, la beauté et le mystère de la vie. J’aimerais que la poésie soit tellement incluse en nous, dans nos comportements, qu’elle aille jusqu’à s’incarner dans ce que nous réalisons quotidiennement… »

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Extraits de : « Pierre Rabhi semeur d’espoirs »2013  Olivier le Naire.

Illustrations : 1/« L’École d’Athènes » (détail) Raffaello Sanzio 1483-1520  2/« Sommet de colline »  Frank Weston Benson 1862-1951  3/« Le ballon »  Pal Szinyei Merse 1845-1920  4/« Étude de nuages » Knud Baade 1808-1979.

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Cultiver nos champs d’humanité…

BVJ – Plumes d’Anges.

Étendues rêveuses…

28 février 2014

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« … Je voudrais parler ici de ce qu’il nous arrive de ressentir

en regardant certains espaces,

tels qu’ils apparaissent dans des images photographiques.

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Ces espaces semblent alors le lieu d’une présence invisible,

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qui se manifeste par une ambiance, non par des formes,

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mais que notre volonté n’est pas capable de chasser,

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et que des sensibilités autres reconnaissent aussi bien que nous-mêmes.

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Je propose de les appeler des « étendues rêveuses »… »

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Je vous souhaite d’admirer des « étendues rêveuses » dans les jours à venir,

elles peuvent prendre diverses formes,

elles vivifient !

Les vacances sont là, je vous dis

À BIENTÔT !

Extrait de : « L’ombre et le temps – Essais sur la photographie comme art. » 1993 Jean-Claude Lemagny.

Photos BVJ.

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Se ressourcer dans des images rêvées…

BVJ – Plumes d’Anges.

Richesse…

24 février 2014

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« Il y a de tout dans le monde

pour satisfaire aux besoins de l’homme,

mais pas assez pour assouvir son avidité. »


Mahatma Gandhi 1868-1948

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Illustrations : 1/« Souris et grappe de raisin »  Watanabe Shôtei 1851-1918 2/« Souris et chapeau haut-de-forme »  Takeuchi Seiho 1864-1942.

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Rechercher avec ardeur nos réels besoins…

BVJ – Plumes d’Anges.

Succulentes…

22 février 2014

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Tout, dans la Nature, est source de lumière, tout est là pour nous éclairer…

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En admirant ces Succulentes*, famille de plantes au nom exquis,

je me dis que même une situation épineuse et douloureuse

offre le moment venu, une fleur d’exception…

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« Qu’ai-je à apprendre de la difficulté que je rencontre ? »

peut être un propos apaisant qui nous guide sur ce chemin de floraison…

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* Plantes succulentes (du latin suculentus qui signifie plein de suc ): Ce sont des plantes charnues adaptées pour survivre dans des milieux arides… que l’on appelle souvent plantes grasses…

Illustrations : 1/« Echinopsis obrepanda »  2/Cereus jamacaru » 3/« Echinopsis eyriesii » – Le magazine botanique – William Curtis 1746-1799.

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Comprendre l’incroyable…

BVJ – Plumes d’Anges.

Unis vers…

19 février 2014

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« … Le pouce gauche sur le poignet droit, je sens battre mon cœur. Un long moment je reste à l’écoute de ce rythme fidèle et impérieux qui m’accompagne depuis ma naissance et constitue la trame de mon existence.

À travers la séquence ininterrompue des parents et des grands-parents qui me l’ont légué, ce battement sous mon pouce me relie directement au passé lointain de la vie terrestre et m’insère dans une histoire qui dure depuis des centaines de millions d’années.

Je m’inscris dans ce moment précis de l’histoire du monde. Pendant quelques décennies, je tiens le flambeau de la conscience que m’assure ce battement de cœur. Comme tant d’autres auparavant, il s’éteindra tandis que d’autres s’allumeront. Vertige de cette formidable aventure de la vie sur la Terre…

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… La forêt raconte la vie des arbres en images simultanées. Les jeunes pousses voisinent avec les spécimens adultes et les troncs vieillissants. Le sol est jonché de bois pourris. De leur substance se forme le terreau où germent les nouvelles graines.

La forêt nous enseigne à voir la vie sous son angle dynamique. À en avoir une perception d’ensemble intégrée dans la durée du monde…

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… Le beau est-il dans la nature ?

La beauté naît de la rencontre entre le monde et l’être humain qui le perçoit.

« J’ai vu une herbe folle

Quand j’ai su son nom

Je l’ai trouvée plus belle. »

Elle est devenue belle d’être vue et plus belle encore d’être nommée.

« Depuis que Monet a peint les nénuphars d’Île-de-France, ils sont devenus plus beaux, plus grands. » (Gaston Bachelard.)

La beauté naît du regard de l’homme. Mais le regard de l’homme naît de la nature…

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… La Terre tourne sur elle-même et, de ce fait, crée le jour et la nuit. Les effets de cette énorme et inexorable mécanique se font sentir dans d’innombrables évènements à de multiples échelles. Le Soleil disparaît à l’horizon et les lueurs crépusculaires s’éteignent lentement. Les hirondelles se perchent et les chauves-souris s’activent. Les belles-de-jour se ferment et les belles-de-nuit déploient leurs corolles pastel.

Des phénomènes à un niveau donné – ici la rotation des corps célestes – deviennent des cadres où s’inscrivent de multiples phénomènes à d’autres niveaux. Le mouvement de la Lune dénude et recouvre périodiquement les bords de mer. Et une multitude de plantes et d’animaux vivent au rythme des marées, dans cette zone dont on dit joliment qu’elle est « réclamée » par la mer. Ainsi se construit la réalité.

Un vieux paysan termine sa récolte et rentre chez lui, la fourche sur l’épaule, dans la brume d’automne. Des nappes d’air froid descendent des régions septentrionales. Elles condensent la vapeur d’eau et couvrent la campagne d’un épais brouillard gris. Quand l’hiver se termine, la nécessité de juxtaposer physiquement les graines mâles et femelles provoque l’infinie multiplicité des parades nuptiales, des passions amoureuses et des peines de cœur.

La collision de la jeune Terre avec une autre planète est vraisemblablement responsable de l’inclinaison de son axe orbital autour du Soleil. Cet évènement cataclysmique d’il y a quatre milliards d’années ne fut observé par personne. Mais ses effets sont encore présents. Nous lui devons le cycle des saisons. Art de la nature de broder indéfiniment sur des réalités élémentaires…

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… Être « du côté de la vie ». La compassion universelle pour tout ce qui vit…

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… L’important se situerait dans la richesse du contact avec l’univers. À la jonction du monde intérieur et du monde extérieur. Il serait de l’ordre du plaisir et de la contemplation… »

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Extraits de : « L’espace prend la forme de mon regard » 1995 Hubert Reeves.

Illustrations : 1/« Urania, Muse de l’Astronomie »  Raffaello Sanzio 1483-1520  2/« Géographie des plantes »  Alexander von Humbolt 1769-1859  3/« le Grenadier » Détail d’une fresque de la Villa di Livia à Rome – époque JC.

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Prendre conscience de la grandeur de l’aventure humaine…


BVJ – Plumes d’Anges.