Archive pour mai 2013

Météores…

vendredi 31 mai 2013

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En ce mois de mai, nous sommes gâtés en phénomènes atmosphériques de tous genres !

Les météores aériens, aqueux, ignés et lumineux dont nous parle le Littré vont bon-train !

J’OBSERVE,

j’observe un certain monde qui rumine de mauvaises pensées,

qui traque les faits divers les plus sordides,

qui encense les catastrophes,

qui entretient les peurs…

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… et je me dis qu’il est grand temps de poser un autre regard sur la vie !

L’obscurité existe, certes, mais ne l’oublions pas :

nos pensées sont créatrices,

nourrissons-nous de tolérance, d’amour, de beauté, de bonté, de lumière,

le ciel de notre vie n’en sera que plus beau,

la pureté de son bleu vibrera haut,

nous donnant l’énergie nécessaire pour vivre les jours voilés de notre existence…

Prenons du recul, réfléchissons une minute chaque jour

à un être ou à un évènement réjouissants (et nous les trouverons facilement),

il n’y a que nous pour les mettre en valeur,

il ne nous faut compter que sur nous-même,

jour après jour nous nous apercevrons que le monde n’est pas celui que certains décrivent…

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LUMINEUX WEEK END À TOUTES ET À TOUS !


Tableaux : 1/ « Arc en ciel »  George Inness 1825-1894  2/« Paturage ombragé »  Thomas Corsan Morton 1859-1928  3/« Portrait d’un boeuf »  Friedrich Voltz 1817-1886.

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Ne pas se laisser endormir, réagir ! …

BVJ – Plumes d’Anges.

Émotion…

mercredi 29 mai 2013

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« … Si vous avez une lunette de nuit un peu forte, comme celles où l’on regarde quelquefois pour dix sous, braquez-là sur l’étoile bleuâtre. Et je vous jure que cela vous saisira autant qu’un Blériot volant.

C’est Saturne. C’est le bijou du ciel. Vous le voyez flotter dans un noir sans fond, et vous montrant autour de son globe son brillant anneau, assez incliné vers vous pour que vous aperceviez à droite et à gauche, deux petits creux d’ombre qui le détachent du globe, et font voir qu’il trace en ce pays-là un pont lumineux d’un côté du ciel à l’autre, quelque chose comme la trajectoire solidifiée de plusieurs centaines de lunes. Astre et anneau étincellent par le feu du soleil caché. On regarde de nouveau avec ses yeux ; c’est toujours la petite étoile bleuâtre ; on revient à la lunette ; on se prouve, non sans peine, que ce bijou existe ; on prend pied dans le ciel. J’ai entendu dire qu’un homme, illustre depuis, devint astronome du jour où il vit Saturne et son anneau. Comment s’en étonner ?

Mais je veux vous conter une histoire de lunette. Il y avait un château ; au-dessus du château il y avait le ciel ; dans le château il y avait des gens fort cultivés ; il y avait aussi un trépied dans un coin et une grande boîte sous le billard. On disait : « Il y a dans cette boîte une lunette qui vient d’un oncle » ; et l’on racontait l’histoire de l’oncle. Historiens grands et petits, on n’entend que cela. Saturne fait ses tours au ciel ; mais ils ne s’en souciaient point, parce qu’ils avaient appris au collège tout ce qu’un homme cultivé doit savoir là-dessus.

Il fallut qu’il vînt là un grand jeune homme à raquette, qui n’avait guère écouté ses maîtres, et qui flânait par le monde, grâce à l’argent qu’il avait. Cet ignorant savait qu’il y a un vrai ciel, et des lunettes pour les choses du ciel. Il tombe sur la boîte, l’ouvre, monte la lunette, tâtonne d’étoile en étoile, et dit finalement : « Il est là. » Sa voix tremblait un peu. Tous y coururent ; et ce jour comptera dans leur vie. Car l’habitude nous cache les choses  mais, quand on a vu cet anneau penché autour d’un globe, il faut qu’on revienne aux merveilles qui sont autour de nous, à nos pieds. Comment ne pas penser à cette vieille terre qui flotte, elle aussi, enveloppée de nuages, toute humide de ses océans ? Et comment n’y pas aller, je veux dire comment ne pas s’éveiller aux choses terrestres ? Quand on découvre Saturne au bout d’une lunette, c’est tout l’Univers qu’on découvre. »

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Extrait de :  » Propos sur la nature  (propos du 25 octobre 1909) »  Alain (Emile-Auguste Chartier 1868-1951.

Illustrations : 1/« Jeunes femmes regardant dans une lunette » 1882  Auteur inconnu 2/ « Saturne »  Paul Philippoteaux 1846-1923.

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Cultiver la curiosité, tout est là, à nos pieds…

BVJ – Plumes d’Anges.

S’accomplir…

lundi 27 mai 2013

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« … Réunir, ce n’est pas juste faire asseoir des gens dans la même pièce, un jour. C’est plus subtil. Il faut qu’entre eux se tisse quelque chose de fort…

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… Que le chant vide sa tête des images. Qu’il redevienne l’homme qu’il est aujourd’hui. Qu’il se laisse à nouveau, peu à peu, gagner par la beauté. Un arbre, la façon dont la ramure dessine contre le ciel un entrelacs très fin, aléatoire. C’est beau parce que c’est. Voilà. C’est tout. Contempler ces branches-là, ces feuilles-là, rien d’autre. Juste ce qui s’offre. Il n’y a aucune intention dans un paysage. Il n’y a aucune intention dans la ramure d’un arbre et ça, c’est un repos. S’absorber totalement à regarder. Se rendre. Sa façon de retrouver la paix…

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… Il se rend compte qu’il a toujours aimé voir quelqu’un à l’étude, que c’est une vision reposante de l’humanité. Il trouve le monde si paresseux. Il se dit que lui non plus n’a pas échappé à cette grande paresse. Quand on laisse la souffrance vous prendre trop longtemps, on finit par être paresseux de sa propre vie. Oui, il l’a été. Revisiter les splendeurs du jardin lui fait mesurer comme il s’en est privé longtemps…

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… Il se dit qu’œuvrer sauve de tout. Se concentrer totalement. Évacuer de sa tête de son cœur tout ce qui gène. Être entièrement à ce qu’on fait. Et c’est tout. La belle expression. Oui, c’est vraiment « tout ». Alors quelque chose s’ouvre. Une joie dans cette solitude. Et c’est ça qu’il a connu : cette joie-là, à nulle autre pareille, profonde, indicible.

Il se dit que les miracles c’est de là qu’ils viennent. Pas d’un dieu tout-puissant hors de chaque être humain. Les miracles prennent leur source dans la capacité à être totalement présent, il en est sûr…

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… Elle murmure J’avais lu les livres de poèmes dans votre cabinet, en bas, le jour de notre premier entretien. Il sourit. Ainsi chacun observe l’autre et l’on ne sait jamais ce qui de nous sera retenu, à notre insu. Elle ajoute Ça m’a rassurée. Le vieil homme poursuit Moi aussi ça me rassure. Quand je n’ai plus de refuge, je vais dans les mots. J’ai toujours trouvé un abri, là. Un abri creusé par d’autres, que je ne connaîtrai jamais et qui ont œuvré pour d’autres qu’ils ne connaîtront jamais. C’est rassurant, de penser ça…

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… Elle a toujours pensé que les mots détenaient une puissance qu’on ne voulait pas connaître vraiment. Les mots peuvent tout changer. Elle, elle s’est mise du côté muet de la parole, avec la peinture. Elle sait que c’est sa place. Mais elle n’ignore rien de la puissance des mots. Tout au fond d’elle..

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… Il a dit Votre manque d’attention a permis à la mienne de se ressaisir, en la regardant droit dans les yeux. Cet homme qui a passé sa vie à observer les autres, tenter de comprendre ce qu’eux-mêmes ne savaient pas de leurs corps, tenter de les aider. C’est cela la confiance avec lui. C’est tous ces moments passé à s’occuper des autres qui ont donné à son regard cette acuité, cette bienveillance infinie, comme si tout était excusable d’avance chez les humains. Pas de jugement. L’attention seule.

C’est si rare… »

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Extraits de : « Profanes » 2013 Jeanne Benameur.

Photos BVJ.

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Des liens, visibles ou invisibles, nous réunissent et nous aident à fleurir…

BVJ – Plumes d’Anges.


Se fendre la poire…

vendredi 24 mai 2013

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Partager les BONNES CHOSES de la vie , quel DIVIN programme !!!

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Comme le disait l’ami Voltaire : « J’ai décidé de rire parce que c’est bon pour la santé ».

Ne nous en privons pas, chassons le stress de notre vie et allons vers ce qui nous FAIT DU BIEN.

Le RIRE a d’immenses vertus, il agit merveilleusement sur notre CŒUR.

« Fendons-nous la poire ! »

En parlant de ce DOUX fruit, que diriez-vous d’un instant gourmand : une SUBLIME recette – comme d’habitude


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GÂTEAU AUX POIRES

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Ingrédients : 4 poires (à défaut, 1 boite de poires au sirop), 3 œufs, 150 g de cassonade, 150 g de farine de blé, 30 g de farine de maïs, 1 sachet de levure, 90 g de beurre, 1 pincée de sel.

Réalisation : Battre la cassonade et les œufs jusqu’à obtention d’une crème mousseuse.

Ajouter les farines et la levure tamisées, le beurre, le sel.

Bien mélanger le tout et verser dans un moule beurré.

Peler, épépiner et couper en deux les poires.

Les poser sur la pâte en les enfonçant légèrement.

Enfourner 45 minutes à 200° (230° dans mon four),

démouler, attendre le refroidissement et saupoudrer de sucre glace…

Servir à l’heure du Tea ou en dessert, accompagné d’une cuillère de Chantilly…

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Illustrations : 1/« Primevères, poires, grenades… »  Henri Fantin-Latour 1836-1904   2/ et  3/  Photos BVJ.

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Se détendre, rire ensemble, rire de soi aussi…

BVJ – Plumes d’Anges.


Être…

mercredi 22 mai 2013

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« … Qu’est-ce-que la vie ?

Pourquoi sommes-nous sur terre ? Pour jouir de la vie, en nous occupant de nous ?

Ou pour autre chose de plus vaste, de plus profond ?….

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… On a tendance à l’oublier, dans la vie il y a la vie. Il y a les hommes. Et puis il y a l’homme.


L’homme est la capacité extraordinaire de la vie, en étant capable de faire vivre la vie autrement. Par sa conscience. Par son cœur. Par son humanité.


On devrait toujours avoir à l’esprit que c’est l’homme qui confère un sens à la vie.


Et non la vie qui confère un sens à l’homme.


On a tendance à le perdre de vue.


Par passivité.


Parce que nous attendons que la vie extérieure donne du sens à notre vie au lieu de nous-mêmes donner un sens à la vie extérieure.


Si bien que c’est notre absence dans la vie que nous finissons par prendre pour une absence de vie dans la vie.


La vie humaine n’a pas de sens sans l’homme. Elle n’a de sens que par l’homme.


Elle est donc pleine de sens, pour peu qu’on s’y engage.


En toute conscience.


Avec cœur.


En toute humanité… »


Extraits de « Petit précis de philosophie – Être »  2005  Bertrand Vergely.

Photos BVJ – Abbaye du Thoronet.

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L’homme est un joyau…

BVJ – Plumes d’Anges.


Le bel endormi…

dimanche 19 mai 2013

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L’ouvrage était de taille mais le cœur a veillé, tout est PRESQUE terminé !!!

La large grille, de forme simple, dont les ailes pimpantes s’écartent silencieusement…

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… et un petit portail installé avant 1920 : il s’était vu paré, au fil du temps, de plusieurs manteaux de peinture à l’huile, si lourds, qu’il avait du mal à s’entrebâiller.

Ôtant ces nombreuses couches colorées, la délicatesse des volutes, la finesse des motifs sont apparues et ces reliefs ont créé une beauté nouvelle chargée d’une bienfaisante énergie.

Mais la pluie s’étant invitée, il nous faut attendre pour l’habiller d’un second voile, couleur d’espérance…

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Les objets nous ressemblent.

J’ai souvent pensé à nous, les êtres humains, qui croulons sous le poids des habitudes et des renoncements, ces manteaux encombrants qui cachent la vraie vie, celle à laquelle nous sommes destinés…

N’est-il pas temps de nous alléger de ces couleurs et vernis en tous genres qui pèsent sur nos fragiles épaules et de nous ouvrir ?

Qu’en pensez-vous ?

Dans ce travail sur soi, il peut y avoir des cadeaux…

Ce joli portail, au dernier jour de son nettoyage printanier, a offert à nos yeux cette signature :

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Initiales d’un fondeur, d’un ferronnier, d’un propriétaire… ?

(Avions-nous touché à son âme ?)

Des questions  et peut-être des réponses pour éclairer notre chemin  : QUI  SOMMES-NOUS VRAIMENT ?

À suivre…

BON DIMANCHE À TOUTES ET À TOUS !

Photos BVJ.

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Réveiller le bel endormi qui est en nous…

BVJ – Plumes d’Anges.

Du coeur à l’ouvrage…

mercredi 8 mai 2013

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Certains disent que dans la vie, ce n’est pas ce qui est à accomplir qui est difficile,

mais l’idée que l’on s’en fait.

Je partage leur avis,

le tout est de poser un premier pas,

de se laisser porter par notre intention

sans du tout envisager l’ampleur de la tâche

et le temps qu’il faudra pour l’exécuter…

Et l’on peut, si notre cœur nous y pousse,

poétiser l’instant,

le plaisir n’en sera que plus grand !

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Ici,

les grands travaux de décapage,  ponçage,  brossage et  peinture ont commencé :

portails (et rambardes ?) vont se parer d’un vert  olivier ou céladon…

L’ANCIEN NOUS QUITTE POUR FAIRE PLACE AU NOUVEAU  :

se laisser habiter encore et toujours  par le printemps,

se sentir tantôt Léonard de Vinci, tantôt Marry Poppins,

quel divin grand écart !!!

À très bientôt, je vous envoie mes plus belles pensées, joyeuses et colorées.

Illustrations : 1/ »Portrait de Jiri » fils du peintre Alphonse Mucha 1860-1939  2/« Brosses à peinture et encollage » planche extraite du Dictionnaire encyclopédique de l’épicerie et des industries annexes » 1904  Albert Seigneurie 3/« vert olivier » de chez Tollens.

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Ce qu’il nous FAUT FAIRE peut être joyeusement fait…

BVJ – Plumes d’Anges.

Réveil…

lundi 6 mai 2013

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 » Réveille-toi, réveille-toi,

papillon endormi !

laisse-moi être ton compagnon ! »

Issa Kobayashi 1763-1828.

Tableau : « Le papillon » John Henry Dolph 1835-1903.

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Avec confiance, ouvrir nos cœurs au printemps nouveau…

BVJ – Plumes d’Anges.

Univers moussu…

vendredi 3 mai 2013

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« Mousses d’un vert profond

la poussière du monde est loin »

Sen no Rikyû

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 »  … Il faut avoir parcouru les allées de ces jardins, dans un monde où l’omniprésence du vert vous plonge dans un état de rêve et de silence, pour sentir à quel point la mousse y semble un souffle exhalé du sol, posé telle une brume, et dont on sent bien, sans rien connaître de son écologie, qu’aucun lien ne l’attache à la terre dans la profondeur d’un enracinement…

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… Comme si l’omniprésence du vert qui nimbe le sol et emporte le regard, dans le fondu miraculeux d’une somptuosité et d’un dépouillement, transformait l’espace tout entier par l’effet de quelque rémanence ; les sons eux-mêmes, comme atténués ou disparus, font apparaître plus dessinés et transparents qu’à l’habitude, les chants d’oiseaux, les filets d’eau glissant vers l’étang et « l’île au brouillard » qui en forme le centre…

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« Pluie d’averse

sans un bruit sur la mousse

me reviennent les choses du passé »

Yosa Buson

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… Ce n’est pas tant que le tapis de mousse assourdisse effectivement les sons environnants ou que, faute de fleurs, les insectes soient moins présents. On dirait que dans ce caractère étale de la mousse recouvrant tout le sol et montant le long des troncs des cèdres, des camphriers, quelque chose d’une marée se suspend, arrêtant le mouvement du monde, refluant vers les racines sculptées des arbres comme un drapé de pierre vers les mains jointes d’un gisant. Ombreuse et douce, la mousse épouse la terre, la couvre d’un manteau comme on le dit de la neige, et pas davantage on n’en peut isoler les brins que les flocons. Elle est le printemps perpétuel comme la neige est l’hiver, et comme elle, restitue le monde à son silence…

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… Accepter ce que la nature nous donne dans l’ombre, jardiner « avec » et non « contre »…

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… En toute saison, et l’été plus encore, on répand de l’eau sur le chemin afin de donner aux mousses, aux pierres, l’éclat fugace d’une ondée, en un geste d’hospitalité nommé uchimizu ; et en toute saison vient la lumière qui tombe des arbres, dont la taille tout exprès irrégulière n’a d’autre but que de laisser filtrer un miroitement d’ocelles qui vibrent sur le chemin comme depuis les fenêtres hautes d’une cathédrale de feuilles…

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… Les mousses naissent du temps, du temps et de l’ombre – par quoi elles se lient au sommeil et au songe. Quand on les croit dépéries, elles ne sont qu’endormies… »

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Extraits de : « Louanges des mousses » 2012 Véronique Brindeau.

Photos BVJ

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Emprunter les chemins de la délicatesse…

BVJ – Plumes d’Anges.

Charmes…

mercredi 1 mai 2013

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« Je marchais à travers la forêt. La forêt était sombre

Et étrangement enchantée.


Et moi, j’aimais je ne sais qui,

Et moi, j’étais ému.


Qui a rendu si tendres les nuages

Qu’ils sont tous en douceur de perles ?

Et pourquoi le fleuve au ruisseau

Chante-t-il : serons-nous amis ?

Et pourquoi tout soudain le muguet

A-t-il soupiré, tandis qu’il pâlit dans l’herbe ?

Et pourquoi si suave, le gazon ?

Oh, je sais : c’est la Fée… »

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Extrait de « Quelques poèmes » : « Les charmes de la Fée »  Constantin D.Balmont 1867-1942.

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– PETIT MESSAGE  PERSONNEL À LA FÉE –

Dis, Princesse des Fées,

si tu pouvais en ce premier jour du mois de mai,

te souvenir et dire aux Princes de ce vaste monde

qu’on ne peut continuer à faire des promesses et à ne pas les tenir…

Rappelle-leur, s’il te plaît, qu’il est inscrit dans notre constitution

« Chacun a le devoir de travailler et le droit d’obtenir un emploi »…

Allez, au travail Princesse des Fées et fleuris-nous le bon muguet,

celui qui porte bonheur !

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Illustrations : 1/« Le Prince Grenouille »  Marianne Stokes 1855-1927  2/« Muguet » Janos Pentelei Molnar 1878-1924.

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Porter bonheur…

BVJ – Plumes d’Anges.