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« Il y a de tout dans le monde
pour satisfaire aux besoins de l’homme,
mais pas assez pour assouvir son avidité. »
Mahatma Gandhi 1868-1948
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Illustrations : 1/« Souris et grappe de raisin » Watanabe Shôtei 1851-1918 2/« Souris et chapeau haut-de-forme » Takeuchi Seiho 1864-1942.
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Rechercher avec ardeur nos réels besoins…
BVJ – Plumes d’Anges.
Dans notre société actuelle, de nombreuses choses sont superflues, et même inutiles.
Mais Socrate, en remarquant l’abondance d’un marché de l’époque, s’était écrié :
« Tant de choses dont je n’ai besoin ».
Bonne semaine ma grande 🙂
Plus on possède et plus on a peur de perdre. Krishnamurti disait » Soyez libres comme des oiseaux ». Que ta journée soit riche( non pas de possession mais de ressentis)
Oui, un rien comble l’esprit quand le tout déçoit l’ego … Belle semaine chère Brigitte
Elle a l’air déçue cette souris, sans doute lui manque t-il la sagesse 🙂
J’adore les petites souris aux yeux qui brillent tant … Bonne soirée
L’homme a toujours couru à la recherche d’un paradis perdu, mais notre société bat les records et est de plus en plus malade. Les êtres humains ont pourtant tout sous la main puisque le bonheur n’est fait que de petits riens. Il faut si peu pour être heureux. Tant que l’homme n’aura pas compris que la consommation n’est qu’un leurre, il continuera de courir …………………..
Gandhi sera toujours pour moi une source d’inspiration et, peut-être aussi, de sagesse.
Bonne journée et à bientôt.
Ce n’est que trop vrai hélas !
Peut-être sommes nous avides parce que c’est dans notre nature et pour tenter de combler d’autres manques (plus spirituels). Il faut ajouter que la société actuelle nous pousse à cette consommation effrénée. Mais en prendre conscience est un pas important.
L’avidité rend l’homme inhumain. L’argent qui mène le monde le montre bien. Amitiés. Joëlle
La richesse est dans le peu et savoir s’en contenter.
Belle soirée.
Tout un programme que d’être heureux avec ce qu’on a et d’utiliser les ressources sans les gaspiller…
Méfiance ! … la petite souris va attraper la grosse tête à désirer ce si grand chapeau !
Qu’elle mange son grain de raisin et du gruyère le dimanche,
elle sera bien plus heureuse.
C’était la minute de sagesse de Tante Solveig :)))
Bises Brigitte
Une phrase remplie de sagesse ! Ce midi avec mes fils, nous discutions sur la nécessité d’avoir de l’argent mais que celui-ci n’est pas la nécessité du bonheur… Un débat passionnant qui permet de réajuster et de ne pas perdre l’objectif de rester humain avant tout ! Je vais leur lire cette petite phrase de Gandhi qui viendra étayer à merveille les arguments. Bises et belle fin de journée
Avidité, connais pas, sauf dans l’assiette. 😉
Mes aspirations… :
« Je rêve toujours d’me tirer, d’me barrer,
D’me tailler, de foutre le camp
Moi qu’aimerais tant m’arrêter d’cavaler
Prendre le temps
D’avoir des chats, des petits chats,
Des chiens, des tas d’enfants,
Un vieux fauteuil au coin du feu
Où me laisser glisser à deux,
Avoir mes bouquins sous la main
Qui s’ouvrent d’eux-mêmes
Aux pages que l’on aime
Et qu’on relit sans fin
Parce qu’on les aime
Un petit clocher de Cocagne
Que j’entendrais tinter
L’hiver tout comme l’été,
La nuit, le jour, sur la campagne
Me donneraient envie de n’plus changer ma vie,
On verrait chaque soir
L’tourbillon fou du monde devant la télé,
Mes chats, mes chiens roupillant à nos pieds
À poings fermés
Et qu’au dehors le vent d’hiver
Se donnerait un mal de chien
Pour faire plier les peupliers
Que nous aurions plantés à deux
Et les soirées d’automne couleraient
Douces et monotones
Et chaque nuit on se dirait « chéri, on réveillonne »
Aïe ! Quelle petite vie de Cocagne
L’hiver tout comme l’été
J’pourrais pas m’en lasser,
La nuit, le jour, dans ma campagne
Ni vue et ni connue dans mon petit coin perdu
Mais v’là qu’il faut me tirer, me barrer,
Me tailler, foutre le camp,
J’ai même pas l’temps d’m’oublier
Un instant loin du présent,
Adieu mes chats, mes petits chats, mes chiens
Adieu le vent,
Ce vieux fauteuil au coin du feu,
J’m’y serais jamais planquée à deux
C’est bête ce rêve que j’fais chaque jour
Dans ma p’tite auto
En venant du bureau
Qui pourrit ma vie de nostalgie. »
Comme Jeanne 😉
questa frase del Mahatma coglie come una lancia appuntita!
L’avidité c’est terrible..Quel piège !
Passe une belle journée et bises