Archive pour la catégorie ‘plumes légères’

Rossignol philomèle…

mardi 8 juin 2010

ROSSIGNOL PHILOMÈLE

Luscinia megarhynchos

Il annonce le printemps, c’est l’oiseau du mois de mai, il est aussi et surtout le symbole de l’amour.

Ses plumes sont dans les teintes de beige et de gris, sa queue un peu rousse, ses pattes d’un jaune rosé, son œil noir est cerclé de blanc.

Il niche dans les bois, les sous-bois, les buissons touffus, il aime les cours d’eau. Il visite nos jardins de mai à septembre puis migre vers l’Afrique.

Regardez bien ce paysage, il s’y cache à coup sûr, tellement bien d’ailleurs, qu’il s’y rend invisible…

Vous aimeriez l’entendre ? Le miracle est possible !

Écoutez, dégustez, enivrez-vous…

rossignol philomèle

Le chant parfait qu’offre cet oiseau demeure très mystérieux, il est des plus mélodieux.

Le rossignol gringotte ou quiritte, on parle de ses roulades ou de ses trilles cristallines. Il devient magique, on se prendrait à rêver… : perdre le sommeil pour mieux en profiter.

Oiseau nocturne par excellence, on l’entend plus qu’on ne le voit.

Ce charmeur possède les talents de tous les oiseaux chanteurs réunis, il nous parle d’amour certainement, et la nuit lorsqu’il sait que les autres oiseaux dorment, la femelle couvant avec ferveur, le mâle éprouve un grand besoin de chanter. Les oisillons apprendront ensuite l’exercice avec leurs parents.

Paravent à deux écrans – Uda Tekison – 1896 – 1980.

 » the Gorge  » – 1927

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Ouvrez grandes vos oreilles, encore et toujours, la nature y chuchote de belles vérités…

BVJ – Plumes d’Anges.

Lumière, Lumières…

vendredi 4 juin 2010

La balade fut lumineuse,

merveilleuse,

accompagnée…

Je suis dans le ravissement,

MERCI !

Les Anges étaient présents…

Très belle journée à vous…

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«  la foi est un oiseau qui sent la lumière et qui chante quand le jour n’est pas encore levé. « 

Rabîndranâth Tagore  1861 – 1941.


BVJ – Plumes d’Anges.

Maison de thé…

jeudi 3 juin 2010

Aujourd’hui je pars en balade,

la porte est ouverte,

vous pouvez entrer,

j’ai préparé du thé…

Installez-vous dans le jardin…

C’est toujours une fête avec le thé,

un instant de charme,

une minute d’abandon,

un moment précieux…

Regardez le ciel, laissez-vous aller…

Fermez les yeux…


Passez une douce journée…

…..

Faire un peu de silence pour mieux se recueillir… et puis s’ouvrir au monde, à nouveau.

BVJ -Plumes d’Anges.

Angelica archangelica…

mardi 25 mai 2010

Cette plante de la famille des Ombellifères est communément appelée : Angélique des jardins. Parmi toutes les variétés d’Angéliques, Angelica archangelica est la plus belle espèce.

Ses fleurs ailées, à rayons nombreux, ont une délicieuse odeur suave. Son feuillage est ample et élégant.

Elle entre dans la composition de certaines liqueurs. Avec ses jeunes tiges, les confiseurs préparent des fruits confits.

Au Moyen-Age, on l’appelait « l’Herbe aux Anges ». On disait qu’elle possédait des vertus magiques et merveilleuses, elle était sensée protéger des maléfices et envoûtements. Une légende raconte qu’un Ange aurait révélé, l’espace d’un rêve, le pouvoir de cette plante pour guérir la Peste.

A la Renaissance, on l’appelait « l’Herbe du Saint Esprit ». Paracelse parle des « grandes et divines propriétés de sa racine ».

Elle a longtemps joué un grand rôle en médecine, surtout dans les domaines respiratoires et digestifs. D’après bon nombre de botanistes, cette plante n’est pas utilisée à la hauteur de ses possibilités. Ses propriétés énergétiques seraient semblables à celles du Ginseng…

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Symbole floral : »Vous faites naître en moi de nobles pensées, je suis aux Anges. »

…..

ANGELICA ARCHANGELICA

« Exercice de botanique à l’usage des commençants »

J.C.Philibert – 1801

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Et nous, faisons-nous usage de tous les dons que nous a offerts la nature?

BVJ-Plumes d’anges

L’Oiseau Bleu…

vendredi 21 mai 2010

Féerie théâtrale en six actes et douze tableaux de Maurice Maeterlinck.

Deux jeunes frère et sœur, Tyltyl et Mytyl, enfants d’un pauvre bûcheron, partent à la recherche de l’Oiseau Bleu à la demande de la Fée Bérylune dont la fille est malade…

Cette pièce fut jouée pour la première fois le 30 septembre 1908, au Théâtre Artistique de Moscou, théâtre créé par Vladimir Nemirovitch-Dantchenko et Constantin Stanislavski.

Ce dernier, comédien, metteur en scène et théoricien a révolutionné le théâtre.

Pour lui, l’acteur doit abandonner le jeu théâtral exagéré de l’époque pour arriver à un jeu sincère et vrai, il doit chercher l’inspiration à l’intérieur de lui-même .

Il fut passionné par cette pièce symboliste, œuvre majeure de M.Maeterlinck sur l’homme et la quête du bonheur.

Les enfants vont traverser dans leur voyage initiatique les grands thèmes de l’existence, à la recherche de la vérité, symbolisée par l’Oiseau Bleu.

Bien sûr, l’Oiseau Bleu est insaisissable…

Photographies  de Karl Fischer – 1908

Cette féerie est une merveille, j’aurais aimé vous l’offrir là, sur-le-champ, dans son intégralité…

Mais c’est chose impossible, je vous en livre quelques lignes pour le plaisir.

J’espère que votre gourmandise vous poussera à continuer le voyage…


« … la Fée – Mais il faut voir les hommes avec la même audace !… C’est bien curieux les hommes… Depuis la mort des fées, ils n’y voient plus du tout et ne s’en doutent pointHeureusement que j’ai toujours sur moi tout ce qu’il faut pour rallumer les yeux éteints… Qu’est-ce-que je tire de mon sac ?…

Tyltyl – Oh ! Le joli petit chapeau vert ! Qu’est-ce qui brille ainsi sur la cocarde ?

la Fée C’est le gros Diamant qui fait voir…

TyltylAh !…

la FéeOui ; quand on a le chapeau sur la tête, on tourne un peu le Diamant : de droite à gauche, par exemple, tiens, comme ceci, vois-tu ?… Il appuie alors sur une bosse de la tête que personne ne connaît, et qui ouvre les yeux…

Tyltylça ne fait pas mal ?

la Fée Au contraire, il est fée… On voit à l’instant même ce qu’il y a dans les choses ; l’âme du pain, du vin, du poivre par exemple…

Mytyl Est-ce qu’on voit aussi l’âme du sucre ?…


la Fée – …  Ah ! j’allais oublier… ( Montrant le Diamant.) Quand on le tient ainsi, tu vois… un petit tour de plus, on revoit le Passé… Encore un petit tour, et l’on voit l’Avenir… C’est curieux et pratique et ça ne fait pas de bruit…

Tyltyl Papa me le prendra…

la Fée – Il ne le verra pas; personne ne peut le voir tant qu’il est sur ta tête… Veux-tu l’essayer ?… (elle coiffe Tyltyl du petit chapeau vert) A présent, tourne le Diamant… Un tour et puis après…

(A peine Tyltyl a-t-il tourné le Diamant, qu’un changement soudain et prodigieux s’opère en toutes choses. La vieille fée est tout à coup une belle princesse merveilleuse ; les cailloux dont sont bâtis les murs de la cabane s’illuminent, bleuissent comme des saphirs, deviennent transparents, scintillent, éblouissent à l’égal des pierres les plus précieuses. Le pauvre mobilier s’anime et resplendit ; la table de bois blanc s’affirme aussi grave, aussi noble qu’une table de marbre, le cadran de l’horloge cligne de l’œil et sourit avec aménité, tandis que la porte derrière quoi va et vient le balancier s’ entr’ouvre et laisse s’échapper les Heures, qui, se tenant les mains et riant aux éclats, se mettent à danser aux sons d’une musique délicieuse. Effarement légitime de Tyltyl qui s’écrie en montrant les Heures.)

Tyltyl – Qu’est-ce que c’est que toutes ces belles dames ?…

la Fée – N’aie pas peur ; ce sont les heures de ta vie qui sont heureuses d’être libres et visibles un instant…

Tyltyl Et pourquoi que les murs sont si clairs ?… Est-ce qu’ils sont en sucre ou en pierres précieuses ?…

la Fée – Toutes les pierres sont pareilles, toutes les pierres sont précieuses : mais l’homme n’en voit que quelques-unes… »

« … la Nuit – Quoi ?… Qu’est-il donc arrivé ? …

la Chatte – Je vous ai déjà parlé du petit Tyltyl, le fils du bûcheron, et du Diamant merveilleux… Eh bien, il vient ici pour vous réclamer l’Oiseau-Bleu…

la Nuit – Il ne le tient pas encore…

la Chatte – Il le tiendra bientôt, si nous ne faisons pas quelque miracle… Voici ce qui se passe : la Lumière qui le guide et qui nous trahit tous, car elle s’est mise entièrement du parti de l’ Homme, la Lumière vient d’apprendre que l’Oiseau-Bleu, le vrai, le seul qui puisse vivre à la clarté du jour, se cache ici, parmi les oiseaux bleus des songes qui se nourrissent des rayons de lune et meurent dès qu’ils voient le soleil… Elle sait qu’il lui est interdit de franchir le seuil de votre palais ; mais elle y envoie les enfants ; et comme vous ne pouvez pas empêcher l’Homme d’ouvrir les portes de vos secrets, je ne sais trop comment tout cela finira… En tout cas, s’ils avaient le malheur de mettre la main sur le véritable Oiseau-Bleu, nous n’aurions plus qu’à disparaître… »


Devant le rideau qui représente de beaux nuages.

« la Lumière – Je crois que cette fois nous tenons l’Oiseau-Bleu. J’aurais dû y penser dès la première étape… Ce n’est que ce matin, en reprenant mes forces dans l’aurore, que l’idée m’est venue comme un rayon de ciel… Nous sommes à l’entrée des jardins enchantés où se trouvent réunis sous la garde du Destin, toutes les Joies, tous les Bonheurs des Hommes…

Tyltyl – Il y en a beaucoup ? Est-ce qu’on en aura ? Est-ce qu’ils sont petits ?…

la Lumière – Il en est de petits et de grands, de gros et de délicats, de très beaux et d’autres qui sont moins agréables… Mais les plus vilains furent, il y a quelques temps, expulsés des jardins et cherchèrent refuge chez les Malheurs. Car il faut remarquer que les Malheurs habitent un antre contigu, qui communique avec le jardin des Bonheurs et n’en est séparé que par une sorte de vapeur ou de rideau subtil que le vent qui souffle des hauteurs de la Justice ou du fond de l’Éternité soulève à chaque instant… Maintenant, il s’agit de s’organiser et de prendre certaines précautions. En général, les Bonheurs sont fort bons, pourtant il en est quelques-uns qui sont plus dangereux et plus perfides que les plus grands Malheurs… »


« … Tyltyl – Il y a donc des Bonheurs à la maison ? …

(Tous les Bonheurs éclatent de rire.)

le Bonheur – Vous l’avez entendu !… S’il y a des Bonheurs dans ta maison !… Mais, petit malheureux, elle en est pleine à faire sauter les portes et les fenêtres !… Nous rions, nous chantons, nous créons de la joie à refouler les murs, à soulever les toits ; mais nous avons beau faire, tu ne vois rien, tu n’entends rien… J’espère qu’à l’avenir tu seras un peu plus raisonnable… En attendant, tu vas serrer la main aux plus notables… Une fois rentré chez toi, tu les reconnaîtras ainsi plus facilement… Et puis, à la fin d’un beau jour, tu sauras les encourager d’un sourire, les remercier d’un mot aimable, car ils font vraiment tout ce qu’ils peuvent pour te rendre la vie légère et délicieuse… Moi d’abord, ton serviteur, le Bonheur-de-se-bien-porter… Je ne suis pas le plus joli, mais le plus sérieux. Tu me reconnaîtras ?… Voici le Bonheur-de-l’air-pur, qui est à peu près transparent… Voici le Bonheur-d’aimer-ses-parents, qui est vêtu de gris et toujours un peu triste, parce qu’on ne le regarde jamais… Voici le Bonheur-du-ciel-bleu, qui est naturellement vêtu de bleu ; et le Bonheur-de-la-forêt, qui non moins naturellement, est habillé de vert, et que tu reverras chaque fois que tu te mettras à la fenêtre… Voici encore le Bonheur-des-heures-de-soleil qui est couleur de diamant, et celui du Printemps qui est d’émeraude folle…

Tyltyl – Et vous êtes aussi beaux tous les jours ?…

le Bonheur – Mais oui, c’est tous les jours dimanche, dans les maisons, quand on ouvre les yeux… »


L’oiseau Bleu – Maurice Polydore Marie Bernard Maeterlinck

1862 – 1949

Prix Nobel de littérature en 1911

Illustrations 1,2,3,4,5  de John James Audubon  1785 – 1851

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Et si… enfin, nous cherchions  l’inspiration à l’intérieur de nous-mêmes, juste pour tendre à être vrais et sincères ?

BVJ – Plumes d’Anges.

L’eau d’Ange…

jeudi 13 mai 2010

Ce billet est dédié à Sarah.B.

http://lameridienne-sb.blogspot.com/

Les dames du Manoir des Thélémites l’appréciaient déjà :

« A l’issue des salles du logis des dames, estoyent les parfumeurs et les testonneurs*, par les mains desquelz passoyent les hommes quand ils visitoyent les dames. Iceulx fournissoyent par chascun matin les chambres des dames d’eaue rose, d’eaue de naphe et d’eaue d’ange**, et à chascune la precieuse cassoleste, vaporante de toutes drogues aromaticques… « 

* ceux qui testonnoient ou frisoient la téte

** c’est une eaue de senteur composée d’iris de Florence, de storax…

Oeuvres de François Rabelais – « Des songes drolatiques de Pantagruel » M.DCCCXXIII – Tome second – Chapitre LV – ouvrage posthume.

Ce sont les Médicis qui ont popularisé l’eau d’Ange. Ils estimaient les apothicaires par dessus tout et ont ainsi assuré le succès de cette senteur au delà du duché de Florence.

Benjoin, santal citrin, iris, citron, noix de muscade, cannelle, bois de rose, eau de myrte, musc, civette… auraient composé cette eau merveilleuse.

Ce fabuleux Traité des Parfums écrit par Simon Barbe en 1693 nous livre tous les secrets des poudres pour les cheveux, des savonnettes, des essences et huiles parfumées aux fleurs, des pommades, des parfums bons pour la bouche, des eaux de senteur, des grosses poudres à la Maréchalle et toutes les manières de s’en servir, des peaux et gands parfumez, du tabac…

Dans l’épitre de cet ouvrage dédié à MONSEIGNEUR LE PRINCE D’HARCOURT, notre parfumeur nous confie : « Toutes ces choses, Monseigneur, que la Renommée a pris soin de répandre dans l’Univers sont autant de Parfums qu’elle a épanchez, à vôtre honneur, et comme c’est la première parfumeuse, j’ay crû devoir l’imiter en vous dédiant le Traité que j’ai fait de tout ce qui peut contribuer à la satisfaction des personnes de qualité, soit par les Parfums, Essences, Pastilles, soit aussi par toutes les autres bonnes odeurs dont je donne les compositions. J’augure favorablement pour mon petit Ouvrage, et le succez en sera très heureux, si VOSTRE ALTESSE daigne le recevoir et agréer que je fasse sentir à tous le monde qu’il y a pour le moins autant d’honneur que de plaisir à être sous vôtre appuy. Je suis avec un très profond respect

MONSEIGNEUR

DE VOSTRE ALTESSE,

Le très humble, très obéissant & très obligé Serviteur. »

S.BARBE.

Il rappelle au lecteur l’importance des parfums « & l’on n’ignore pas non plus que Salomon ce Roy si sage & si éclairé avoit quantité de Filles qui luy composoient des parfums : la Reine de Saba le venant voir luy en fit present de plusieurs sortes. Les presens qui furent faits au Sauveur par les trois Rois dans l’hommage qui luy rendirent furent pour la plupart des parfums… »

Y avait-il déjà de l’eau d’Ange dans ces cadeaux ?

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Illustrations – 1/  Styrax Benzoin  – Franz Eugen Köhler –1897 

2/ Couverture du livre Le PARFUMEUR FRANÇOIS – Simon Barbe – 1693 .

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Parfum suave, épicé, léger, capiteux, exhalaison d’une senteur agréable… Nous suivons tous l’effluve de nos rêves. Et qu’en pensent les Anges ?

BVJ – Plumes d’Anges .

Délices,des Lys…

vendredi 7 mai 2010

Lilium Candidum ou Lys de la Madone est un symbole de grandeur et de majesté, l’emblème de l’innocence et de la pureté virginale.

Plante connue depuis la plus haute Antiquité, elle est originaire du Moyen-Orient.

On parle des Lys dans les textes religieux anciens, poussant à l’état sauvage en Syrie et au Liban. Les Croisés les auraient rapportés en Europe.

Pour les Grecs, c’était l’emblème de la création universelle.

Une légende raconte qu’Hercule, tétant le sein de sa mère Junon, deux gouttes de lait coulèrent de sa bouche, l’une d’elle alla vers le ciel et fit naître la voix lactée, l’autre alla vers la terre et fit naître le Lys.

En Occident, dans le monde chrétien, le Lys est l’équivalent du Lotus sacré en Orient.

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Illustrations : 1/ Hans-Simon Holzbecker vers 1650

2/ Walter Hood Fitch 1817- 1892

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Et si nous invitions ces fleurs merveilleuses à nos côtés ?

BVJ -Plumes d’Anges.

A propos d’un oiseau…

lundi 3 mai 2010

PLUME DE GEAI DES CHÊNES

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Gardien de la forêt, le Geai des chênes, Garrulus glandarius de son nom latin, le Geai des chênes vous disais-je , cacarde, frigulote, cajole, fringote, cajacte, jase… Cet oiseau aux yeux bleus et au bec noir porte un plumage gris beige rosé ; sur sa tête et sa queue, il devient noir et blanc . Ses ailes arborent  de merveilleuses plumes rayées de bleu et de noir.

Il possède un immense et singulier talent : celui d’imiter toutes sortes de sons, même le miaulement du chat.

Dans la tradition amérindienne, les plumes de cet oiseau apportent la lumière dans les moments sombres de l’existence, lumière qui éloigne la tristesse et chasse la dépression…

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Nous avons tous un singulier talent, quel est le vôtre ?


BVJ – Plumes d’Anges

Le saut de l’Ange…

mercredi 28 avril 2010

Serait-ce un numéro de haute-voltige ? Je l’ignore… Mais vient un jour où il faut oser se lancer.

Alors aujourd’hui, je fais le

SAUT DE L’ANGE

et mes

« Ailes du désir »

sont toutes grandes déployées

pour vous saluer…

BVJ

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Illustration : détail du Couronnement de la Vierge entourée de Saint Jean-Baptiste, Saint Victor, Saint Bernard et Saint Zenobi -1486 .

Filippino Lippi 1457-1504

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Le saut vous tente vous-aussi ? Mes plus douces pensées vous accompagnent…

BVJ – Plumes d’Anges .