Archive pour la catégorie ‘plumes à rêver’

Tout est bien…

mardi 8 mars 2011

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… « Le bourgeon disparaît dans l’éclosion de la floraison, et l’on

pourrait dire qu’il est réfuté par celle-ci, de la même façon que le fruit

dénonce la floraison comme fausse existence de la plante, et vient

s’installer, au titre de la vérité de celle-ci, à la place de la fleur. Ces

formes ne font pas que se distinguer les unes des autres : elles se

refoulent aussi comme mutuellement incompatibles. Mais dans le

même temps, leur nature fluide en fait aussi des moments de l’unité

organique au sein de laquelle non seulement elles ne s’affrontent pas,

mais où l’une est aussi nécessaire que l’autre, et c’est cette même

nécessité qui constitue seulement la vie du tout… »

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« Phénoménologie de l’esprit » ( Extrait de l’Introduction )  Georg Wilhelm Friedrich Hegel 1770 – 1831.

Illustrations : 1/ « Fleurs de pommiers »  John William Hill 1812 – 1879 2/ « Cydippe et la pomme D’Acontios »  Paulus Bor 1601 – 1669.

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L’ UN aussi nécessaire que l’ AUTRE… la vie du TOUT…

BVJ – Plumes d’Anges.

Boule de cristal…

samedi 26 février 2011

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 » TOUT EST RÉPONSE, SI SEULEMENT ON CONNAISSAIT LA QUESTION ! »

Paul- Éerik Rummo.

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Je « m’envole » quelques jours …

et vous remercie du fond du cœur de vos visites…

À très bientôt !

« La boule de cristal »  John William Waterhouse 1849 – 1917.

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Fermer les yeux pour mieux voir à l’intérieur de soi…

BVJ – Plumes d’Anges.


Trésors…

mercredi 23 février 2011

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« … Les ans ont pu modifier le corps, quand donc le trésor du coeur a-t-il changé ? Le coeur peut être enfoui, scellé, il demeure une pièce de jade qui reluit même au sein des ténèbres…

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… Maintenant que les deux prédestinés se sont véritablement retrouvés, aucun obstacle, aucune maladie, ne pourra plus entraver leur route !…

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… La vie de chacun, longue traversée et long détour, n’apporte-t-elle pas sa part de lumière pour éclairer le sens de leurs retrouvailles ?…

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… Il y a tant de choses qui restent à dire. Cette vie y suffira-t-elle ? Parlons calmement et lentement, c’est cela. Nous avons attendu si longtemps, nous connaissons la vertu de la patience, n’est-ce-pas ? Laissons d’abord le vent printanier qui a l’habitude de résorber la pluie sécher nos larmes. Laissons ensuite le soleil d’été qui fait tout s’épanouir, réchauffer nos rêves, gelés dans la nuit de l’attente. Sais-tu que les vrais trésors sont délicats et cachés, et que le cœur d’une femme est riche et profond comme un jardin ? Pour atteindre la vraie profondeur, il faut suivre des sentiers plein de méandres ; il faut longer des sentiers plein de secrets. Il y a encore par delà les feuillages, l’humble étang avec les libellules qui l’effleurent, des feuilles de lotus qui l’abritent. Sauras-tu t’asseoir auprès de cet étang, prêter l’oreille à ce qui y murmure, prêter le cœur à ce qui y palpite ? Les pétales de fleurs, gorgés de rosée, y éclosent en un geste d’accueil ; trop ouverts, ils prennent le risque de se détacher, de se faner. Sauras-tu alors capter non seulement la beauté qui se montre en surface, mais qui jaillit de la racine, le désir même de beauté qui ne tarit jamais ? Et puis surtout, il y a l’eau transparente qui, apparemment est peu de choses mais qui contient tout un autre ciel. La lune s’y mire toujours pareille, toujours nouvelle ; les nuages s’y déploient, à l’infini…

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… Chacun butine ce qu’il cherche ; chacun entend ce qui lui chante… »

« L’éternité n’est pas de trop. » 2002  François Cheng.

Tableaux : 1/ »Portrait de Julia Foster Ward » 2/ »La fiancée » 3/ »Nymphe aux liserons »   Jules Joseph Lefebvre 1836 – 1911  4/ »Nymphe »  Henryk Siemiradzki 1843 -1902  5/ »Le printemps »  Franz Xaver Winterhalter 1805 – 1873.

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Apprendre la patience pour accéder aux trésors…

BVJ – Plumes d’Anges.

Saisir l’instant…

mardi 22 février 2011

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« Saisir l’instant tel une fleur

Qu’on insère entre deux feuillets

Et rien n’existe avant après

Dans la suite infinie des heures.

Saisir l’instant.

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Saisir l’instant. S’y réfugier.

Et s’en repaître. En rêver.

À cette épave s’accrocher.

Le mettre à l’éternel présent.

Saisir l’instant.

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Saisir l’instant. Construire un monde

Se répéter que lui seul compte

Et que le reste est complément.

S’en nourrir inlassablement.

Saisir l’instant.

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Saisir l’instant tel un bouquet

Et de sa fraicheur s’imprégner.

Et de ses couleurs se gaver.

Ah ! Combien riche alors j’étais !

Saisir l’instant.

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Saisir l’instant à peine né.

Et le bercer comme un enfant.

À quel moment ai-je cessé ?

Pourquoi ne puis-je… ? »

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« Saisir l’instant » 1981  Extrait de « Je cours après mon ombre » 1981 Esther Granek.

Tableaux : 1/« Coquillages » 2/« Mouettes » Albert Joseph Moore 1841 – 1893.

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Saisir l’occasion qui se présente, quand elle se présente…

BVJ – Plumes d’Anges.


Répertoire céleste…

mercredi 16 février 2011

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« … Dans ce geste de l’enfant, j’ai revu le tien, ta manière de prendre soin de ceux que tu aimes, ton souci des plus petites choses. Je suis maladivement attentif à ce genre de détails. Rien ne me bouleverse plus dans cette vie que ces gestes pauvres, indispensables pour que le jour succède au jour. Mes maîtres sont des musiciens, des poètes, des peintres, des mages. Mes maîtres sont des petits enfants…

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… Un tête-à-tête permanent avec Dieu, dans cette vie, serait accablant. Il faut à l’amour un peu d’absence…

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… J’ai dans le cœur un arbre. Les grands airs de Mozart font luire ses feuilles comme sous le sacre d’une pluie d’été…

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… L’amour est une matière plus dure que le diamant, donnée sans condition par Mozart quand Mozart joue, donnée par le silence, la solitude, la pluie et la lumière quand Mozart dort…

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… Les mains aristocratiques des nouveaux nés, délicatement fermées  sur une prise invisible, et le bégaiement de deux notes dans une sonate de Mozart, sont deux bons exemples de ce qu’est un miracle.

J’aimerais savoir prier, j’aimerais savoir appeler au secours, j’aimerais savoir remercier, j’aimerais savoir attendre, j’aimerais savoir aimer, j’aimerais savoir pleurer, j’aimerais savoir ce qu’on ne peut apprendre, je ne le sais pas, je ne sais que m’asseoir et laisser Dieu entrer pour faire le travail à ma place, Dieu ou le plus souvent, il ne faut pas trop exiger, un de ses intermédiaires, la pluie, la neige, le rire des enfants, Mozart…
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… Les moments les plus lumineux de ma vie sont ceux où je me contente de voir le monde apparaitre. Ces moments sont faits de solitude et de silence. Je suis allongé sur un lit, assis à un bureau ou marchant dans la rue. Je ne pense plus à hier et demain n’existe pas. Je n’ai plus aucun lien avec personne et personne ne m’est étranger. Cette expérience est simple. Il n’y a pas à la vouloir. Il suffit de l’accueillir, quand elle vient. Un jour tu t’allonges, tu t’assieds ou tu marches, et tout vient sans peine à ta rencontre, il n’y a pas à choisir, tout ce qui vient porte la marque de l’amour…

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… Dieu descend à terre aussi naturellement que la musique de Mozart monte au ciel, mais il nous manque l’oreille pour l’entendre…

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… Les heures silencieuses sont celles qui chantent le plus clair…

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« Mozart et la pluie »  – 1997  –  Christian Bobin.

Tableaux : 1/« Deux enfants jouant avec des rubans de soie »  Johann-Baptist Reiter 1800-1886   2/et 4/ « Magnolia et velours rouge »  Martin Johnson Heade 1819-1904   3/« Paysage d’hiver »  Gunnar Äberb 1869-1894.

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Musique céleste, musique de l’amour…

BVJ – Plumes d’Anges.


Lettre d’amour…

samedi 12 février 2011

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« Mon cœur, c’est la vie terrestre, tu l’as ; mon âme, c’est la vie céleste, tu l’auras. Ce sont là les deux formes de l’amour ; sur la Terre, pensée, sang, chair ; hors de la Terre, pensée, flamme et lumière ; nos bouches dans la tombe qui est la vraie vie, échangeront des baisers de clarté. Je demande à Dieu, je demande à nos deux anges envolés, je demande à la haute providence éternelle et aux douces providences aimées et vivantes là-haut, de mesurer, minute à minute, ma vie à la tienne. Vivre tant que tu vivras, partir quand tu partiras, voilà mon vœu profond et ma prière ardente…  Je crois à la prière, tu le sais. Une fourmi, au moment où mon pied va l’écraser, ne joindrait pas en vain ses deux petites pattes misérables vers moi. Je serais bon pour elle. Pourquoi Dieu ne serait-il pas bon pour moi ? Je le supplie de me pardonner mes fautes, dont aucune n’a jamais effleuré mon cœur, ma conscience, ni mon âme ; je le supplie de m’accorder ta destinée, ta vie, ta mort, ta transfiguration, ton éternité. Être à jamais, dans cette vie et dans l’autre, utile et aimé ; utile au bien, aimé par toi ; toute mon ambition est là. Aime-moi comme je t’aime, ô mon doux ange adoré. Finissons et commençons ainsi toutes nos années ici-bas, et tous nos siècles là-haut. »

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Lettre de Victor Hugo à Juliette Drouet – 31 décembre 1867.

Illustrations : 1/« Jeune femme en costume japonais » (étude) William Meritt Chase  1849 – 1916 2/« Fleurs de pommier » Japon – auteur inconnu – avant 1279.

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Écrire les mots de l’âme… Décrire les maux de l’âme…

BVJ – Plumes d’Anges.

Natures vivantes…

mercredi 9 février 2011

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« … » C’est une coupelle ancienne, me disait-il. Observe sa ligne admirable. Il te faut apprendre à goûter cette forme d’art. Achète-la, tu vivras avec elle jusqu’à la fin de tes jours. Elle t’apportera la pureté que tu dois trouver dans ton esprit pour travailler. »

Une fois, comme j’avais fait la moue devant un bol, il a éclaté de rire :

« Tu n’y connais rien : c’est une céramique de l’époque Song d’une rare qualité. »

Il me désignait une poussière sur la surface :

« C’est la technique de la »poussière d’étoiles », elle suggère le cosmos. »

Il m’expliqua les résurgences des mythes chinois à travers les petits personnages figurant sur le côté, comment on reconnaissait l’époque à laquelle les céramiques avaient été fabriquées. Leur présence au monde, même menue et modeste, devenait source de pensée. Ce n’était pas la ressemblance illusoire avec le réel que l’objet représentait qui nous intéressait, mais sa présence vivante.

Le vieux Lan poursuivait :

« Tente d’éprouver la plénitude de leur être dans l’espace du silence. Ils sont pleins du vide qui les fait être. Nés du chaos de la matière en fusion, comme ils paraissent tranquilles pourtant… Perçois la réserve, la retenue avec lesquelles ils livrent leur histoire… Déchiffre-la, décris la relation qu’ils entretiennent avec le monde. Saisis l’intelligence pure de leur forme intérieure. Essaie de pénétrer l’univers organique de leur matière ; il apportera à ton œuvre une dimension cosmogonique. Tu dois percevoir au bout de ton pinceau le flux et le reflux de la matière qui leur a donné vie. N’oublie pas, mademoiselle Fa, la perfection de leur forme dans leur maladresse. Elle est connaissance pure. Elle a le pouvoir de nous restructurer intérieurement. Aucun mot ne saurait traduire la joie qu’elle procure. Dans la clarté d’une glaçure ou la brillance lumineuse d’une porcelaine, nos pensées troubles disparaissent sans laisser de traces.

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L’objet est reposant. Il possède réellement un pouvoir magique sur l’individu qui le contemple. Inconsciemment, inlassablement, peut-être recherchons-nous l’esprit originel. Tu dois savoir que ces objets de lettrés sont un ressourcement infini pour le peintre, le point de départ de toute méditation, de toute création. Tu en auras besoin autour de toi, dans ton atelier. Je ne parle pas, ici, de « natures mortes » comme vous dites en Occident, mais de « natures vivantes ». Comme nous, ces objets portent l’émouvante patine du temps. Ils sont gardiens de secrets.Ne crois pas qu’ils se livrent facilement ! Quel souffle mystérieux les anime ? Imagine ce que va nous raconter cette coupe en forme de feuille de lotus où le jade et l’ambre dansent sur un socle tortueux ; la glaçure légère d’une coupe sur pied des Ming ; les boîtes à thé aux odeurs de bois de camphre ; ce vase tripode à encens, gravé de veines de dragon ; ce pot en céladon dont l’embouchure représente l’Être suprême : cette coupe de verre mouchetée de signes des constellations ; ce bassin en grès dont la marbrure représente le feu de l’énergie vitale ; ce plat en forme de châtaigne d’eau ; ce bac à bulbes massif et raffiné des Tang ; ce bol noir, luisant comme la Voie lactée, destiné à mettre en relief la clarté du thé ; ce brûle-encens en bronze incrusté de « taches solaires » d’or ; ce vase-maillet d’une porcelaine rare, à glaçures unies « poudre de thé » ; cet assemblage de vases « sang-de-bœuf » ; ce bol lobé calorifuge en forme de fleur de lotus Song ; ces pots à alcool craquelés, mémoires vivantes d’une nature sèche. Ces objets sont pour moi des îles de repos où l’âme va, par instants, puiser quelques pensées cachées de sérénité. »…

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Extrait de  » Passagère du silence » 2003  Propos de Maître Lan Yusong – Fabienne Verdier.

Illustrations : 1/« Oreiller en grès à englobe blanc » – XIIème siècle – Dynastie Song 2/« Vase » (détail) – XVIIIème siècle – Dynastie Qing- période Kangxi 3/ « Bol à thé en grès gris à couverte brune et grise dite en écaille de tortue » – XII/XIIIème – Dynastie Song.

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Le souffle qui anime…

BVJ – Plumes d’Anges.

Tao…

samedi 5 février 2011

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« Lorsqu’un esprit supérieur entend le Tao,

il le pratique avec zèle.

Lorsqu’un esprit moyen entend le Tao,

tantôt il le conserve, tantôt il le perd.

Lorsqu’un esprit inférieur entend le Tao,

il en rit aux éclats ;

s’il n’en riait pas

le Tao ne serait plus le Tao.

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Car l’adage dit :

le chemin de la lumière paraît obscur

le chemin du progrès paraît rétrograde,

le chemin uni paraît raboteux.

La vertu suprême paraît vide,

la candeur suprême paraît souillée ;

la vertu surabondante paraît insuffisante,

la vertu solide paraît négligente,

la vertu de fond paraît fluctuante.

Le grand carré n’a pas d’angles*.

Le grand vase est long à parfaire.

La grande musique n’a guère de sons.

La grande image n’a pas de forme.

Le Tao caché n’a pas de nom

et pourtant c’est lui seul

qui soutient et parachève tous les êtres.

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* Lao-tseu veut dire par là que le saint perfectionne les hommes de telle sorte qu’il ne puisse blesser leur amour propre.« 

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« Tao-tö king »   Lao-tseu 6ème  avant J.C.

(« Livre sacré de la voie et de la vertu » – traduction de Liou Kia-hway.)

Illustrations : 1/« Boules de neige » 2/« Cerfs-volants »  Bertha Boynton Lum 1869 – 1954.

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Cheminer entre la terre et le ciel…

BVJ – Plumes d’Anges.

Haute couture…

samedi 29 janvier 2011

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 » Moi, je suis la tulipe, une fleur de Hollande,

Et telle est ma beauté que l’avare Flamand

Paye un de mes oignons plus cher qu’un diamant,

Si mes fonds sont bien purs, si je suis droite et grande.

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Mon air est féodal, et, comme une Yolande

Dans sa jupe à longs plis étoffée amplement

Je porte des blasons peints sur mon vêtement,

Gueules fascé d’argent, or avec pourpre en bande.

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Le jardinier divin a filé de ses doigts

Les rayons du soleil et la pourpre des rois

Pour me faire une robe à trame douce et fine.

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Nulle fleur du jardin n’égale ma splendeur,

Mais la nature, hélas ! n’a pas versé d’odeur

Dans mon calice fait comme un vase de Chine. »

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Une envie,

en cette période de défilés Haute couture :

celle de rendre hommage aux artistes que sont les Couturiers…

Je suis émerveillée

par cette créativité sans cesse renouvelée,

par cette poésie,

par le travail de toutes ces mains de fées

qui œuvrent dans l’ombre.

J’avais juste envie de leur dire à tous et à toutes

MERCI !

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TRÈS BEAU WEEK END À VOUS !


« La tulipe »  Théophile Gautier 1811-1872.

Tableau  : « Femmes à la tulipe »  Léopold Gottlieb 1883-1934.

Planche botanique : « Étude de tulipe » Antony Claesz 1592-1635.

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Rechercher l’excellence…

BVJ – Plumes d’Anges.

Pouvoir…

jeudi 27 janvier 2011

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 » Te rends-tu compte que ce que tu fais, ta manière de vivre et de penser, peut aider ou aggraver l’état du monde ?

Cesse d’être attiré dans le tourbillon du chaos et de la confusion, de la destruction et de la dévastation, et commence dès maintenant à te concentrer sur la merveille et la beauté du monde autour de toi. Remercie pour tout. Bénis toutes les âmes que tu rencontres. Refuse de voir le pire en chacun, dans les choses ou dans les conditions extérieures, et recherche toujours le meilleur. Ce n’est pas comme une autruche qui se cache la tête dans le sable et refuse de voir les réalités du monde. C’est simplement chercher le meilleur en tout et en tous et te concentrer dessus.

Tu es un tout petit monde à l’intérieur de toi-même. Quand il y aura paix, harmonie, amour et compréhension là, tout au fond de ton petit monde, cela se reflètera  dans le monde extérieur tout autour de toi. Lorsque tu peux le faire, tu commences à contribuer et à remédier à la situation du monde. »

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 » La petite voix » 27 janvier  Eileen Caddy 1917 – 2006.

Tableaux : 1/ « Dans l’atelier » Gillis Hafström 1841-1909  2/ « Jeune fille ornant la statue de l’amour »  Alexander Roslin 1718-1793.

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Ne l’oublions pas…  nous avons du pouvoir…

BVJ – Plumes d’Anges.