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« … MÊME QUAND L’OISEAU MARCHE, ON SENT QU’IL A DES AILES… »
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Antoine Marin Le Mierre 1723-1793 dans « Les Fastes ou les usages de l’année – Chant 1 »
Illustration : « Faisan cornu-Tragepan satyre » artiste moghol inconnu – Fin XVIIIème.
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Ressentir le mystère de la vie…
BVJ – Plumes d’Anges.
Ce matin, aux Puces, j’ai vu un superbe coq faisan naturalisé et fixé sur un socle en bois.
Je l’ai pourtant vu voler et là, j’ai pensé au boudhistes et à Thich Nhat Hanh qui dit, tu te souviens, que « si on regarde une boîte d’allumettes, on peut voir la flamme.
La flamme ne s’est pas encore manifestée mais en tant que méditant, on peut la voir. »
Ce matin devant ce bel oiseau, je ne savais pas que je le retrouverais dans ton billet ni qu’il serait le support d’une telle méditation, là je l’avoue, je m’incline, tu m’épates!!!
Je t’embrasse Bribri des oiseaux
L’oiseau est une pure merveille!!! ben dis donc………..;que tant de beautés font du bien!!!Merci, plumes d’ange qui porte bien le nom de son blog!!!
C’est l’anti albatros, cher à Baudelaire, que ses ailes de géant empêchaient de marcher!
Ah ! si je pouvais avoir des ailes !!
Un appel à la liberté pour un dimanche ensoleillé! Bises
Parfois, quand je me sens en osmose avec l’univers, je me sens tellement légère qu’il m’arrive de les ressentir… Beau dimanche Plumes d’Anges, je t’embrasse
Il a une somptuosité de velours brodé celui là.
Je suis jalouse de cette nécessaire beauté.
De joyeuses bises
Nous aussi, n’oublions pas que nous avons des ailes pour nous envoler vers d’autres rêves….
ils sont là, ouf !! bises
Que j’aime ce billet !