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« L’odeur de la nuit était celle du jasmin« …
Sur les traces de l’imaginaire de Marguerite Duras.
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La Maison Tamaris Pacha accueille FLORE, une artiste photographe exceptionnelle qui travaille à l’argentique sur les émotions, les souvenirs, les mots lus ou entendus, les traces, merveilleuses ou douloureuses, l’imaginaire. Elle vagabonde, s’arrête, développe ses clichés, agrandit, teinte, cire. Ces métamorphoses nous donnent des œuvres délicates, ouatées, sombres et lumineuses à la fois. Nous entrons dans un univers singulier, une sorte de cahier de voyages qui nous emmène vers une Indochine qui n’existe plus, ou vers un Maroc ou une Égypte d’antan. Elle nous parle avec poésie de mondes perdus, nimbés de brumes, de ses souvenirs à elle, elle témoigne par petites touches, de la fragilité des choses.
J’aime cette réflexion liée à la photographie argentique, il faut il me semble réfléchir au sujet, à la prise, à la composition, au support, au grain, on éclaircit, on assombrit, on change le temps de pose… le résultat est définitif, il ne faut pas se tromper. C’est un vrai travail de création de la part de l’artiste et FLORE est l’exemple parfait.
Le dernier étage de l’exposition est un terrible témoignage sur le « Camps de Rivesaltes, lieu de souffrance« . Là, dit-elle, pas de photographies d’art…
C’est une exposition de grande qualité à mes yeux.
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« Je n’aime plus que les voyages, la rêverie, la solitude, le bruit du monde,
pour le traverser et en rire, puis la poésie pour supporter le passé(…) ».
George Sand – Lavinia.
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FLORE – Exposition Villa Tamaris Pacha à La Seyne sur Mer dans le Var.
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Suivre son chemin…
BVJ – Plumes d’Anges.
OHHHHHHH! que c’est beau. Je me suis promis qu’une fois, j’essaierai l’argentique. Le numérique c’est bien. Mais on n’y retrouve en tous les cas cette tendresse et cette poésie que tu nous montres aujourd’hui à travers ces photos choisies. Magnifique! Merci pour le partage et bises alpines.
faire du beau avec un lieu de souffrance
l’argentique suppose que il y a eu présence et cliché, le travail sur le papier nous donne à repenser ce qui est pour nous la réalité, et notre manière de voir d’autant que ce sont les rêveries qui sont figurées ?
Tu as raison il n’y a pas de spontanéité dans l’argentique, tout est réfléchi voilà pourquoi le photographe y imprime sa marque, son ressenti…C’est très beau ce que tu nous présentes et bien entendu ça donne envie d’aller visiter cette expo hélas bien trop loin de chez moi. Je connaissais de nom cette artiste. Son recueil sur le camp de Rivesaltes doit être poignant. Merci en tous les cas pour la découverte de ces extraits…
Je suis bien loin moi aussi de cette exposition, sinon j’irai avec plaisir. L’argentique avait une dimension plus humaine je trouve, les photos numériques sont dures, trop crues souvent. J’aime ces paysages « nimbés de brume » qui permettent le rêve, l’imagination, les traces d’un monde passé .. Bises Brigitte.
Coucou Brigitte,
Trop loin pour aller voir cette exposition.
C’est tellement beau ce que tu présentes. Du romantisme et l’esprit s’évade. Alors cela fait tant de bien.
Douce semaine.je t’embrasse
Jamais une IA ne pourra produire des photos aussi inspirées ! Belle semaine à toi Brigitte
J’ai adoré cette fois- ci, non pas Duras, MAIS ces photos emplies de brume et de rêve, doux, irréelles, subtiles. Et, pour finir, la citation de Sand. Merci beaucoup pour ce moment hors du temps!
Certainement une très belle exposition. On sent les émotions et la vie à travers les photos !
superbes clichés, plein d’émotion, dommage que c’est loin, c’est une expo qui m’aurait intéressé
belle soirée Brigitte
Merveilleuses photographies avec ce flou qui ouvre à l’imaginaire, merci.
C’est une magnifique exposition que j’ai la chance d’avoir tout à côté donc j’y suis déjà retournée.
Les photographies de Flore sont en fait comme des tableaux, élaborées lentement d’abord dans l’esprit puis réalisées avec ces appareils photos qu’on ne voit presque plus.
La dernière partie est effectivement très émouvante.
Bonne journée.
les photos ont l’air magnifiques et les thèmes retenus sont bien fait pour nous toucher profondément
Splendides instantanés d’antan
Surtout le dernier
de ta série
Bises Brigitte et bon mardi
Les photos sont des brumes de rêve
Des souvenirs enveloppés d’émotions
En rêveuse visite visuelle…
En douces pensées,
Michèle
P.S : après un passage cahotique tout va bien, chère Brigitte, merci pour la constance de ta présence :-))
Quelle poésie et quelle douceur dans ces clichés….à la mode d’antan.
Loin du clic, clic que nous pratiquons si souvent.
J’adorerais voir cette expo, hélas. Merci!
Douce semaine.
Cette expo semble riche et émouvante.
Merci de nous la présenter Brigitte, de partager car elle est bien loin de chez nous…
La grande maitrise de l’artiste transforme ces photos en tableaux.
Belle et douce journée, je t’embrasse amicalement.