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« Ce que la chenille appelle la fin du monde,
le Maître l’appelle un papillon »
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« Il n’est jamais problème qui n’ait un cadeau pour toi entre ses mains.
Tu cherches des problèmes parce que tu as besoin de cadeaux »
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Un petit livre lu il y a longtemps et relu ces jours derniers,
un petit livre tout simple, léger comme une bulle, un peu magique,
un éclat de lumière dans la vie.
Changer notre regard sur le monde me semble important,
c’est une volonté, cela ne se fait pas tout seul,
nous devons chercher, faire appel à notre imagination,
la laisser déborder,
elle nous étonnera certainement…
Qu’en pensez-vous ?
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Citations extraites de : « Illusions – Le Messie récalcitrant » 1977 Richard Bach.
Illustrations : 1/ « Chenille lunaire » Abott Handerson Thayer 1849-1921 2/ « Papillon de l’Atlas » Miniature anonyme du XVIIIème.
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Changer notre regard sur le monde…
BVJ – Plumes d’Anges.
Je me souviens de ce livre, et d’avoir été fasciné par ses propos dans mon adolescence. La force de la volonté, les changements de points de vue… par l’auteur du très beau « Jonathan Livingstone le goéland ».
Tu réveilles des souvenirs, Brigitte, et c’est bien.
J’aime énormément la peinture de chenille tout en camaïeux de verts…
Bien sûr, je l’ai lu, et je l’ai dans ma (précieuse) bibli. Il est vrai que tout est occasion de changement, même le pire. Dans l’idéal, cette crise devrait nous ouvrir les yeux et nous changer au plus profond, mais je ne sais pas. Je crains une explosion de folies quand « tout sera fini » si tout fini, car je crois que le problème du confinement,…. c’est le déconfinement.
En revanche, on ne parle pas assez des enfants; je vois beaucoup de mes petits sur WhatsApp et même ceux de 3 ans s’interrogent : ils voient que quelque chose cloche et se sentent punis. Ils ne sont pas faits pour ces conditions de vie, leur famille fut- elle un cocon (merci pour la chenille justement!)
Merci de nous amener nous à réfléchir. Ton blog devrait être d’utilité publique!
il y a des jours (ou des moments) où ce truc-là marche et d’autres fois où ça ne fonctionne pas du tout, on craque et on pleure
(enfin je parle pour moi ;-))
LA METAMORPHOSE
Tu peux tordre au pied des tiges
L’élastique de ton cœur
Ce n’est pas comme chenille
Que tu connaîtras les fleurs
Quand s’annonce à plus d’un signe
Ta ruée vers le bonheur
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Il frémit et d’un seul bond
Rejoignit les papillons
Francis Ponge (Pièces)
« Ce que la chenille appelle la fin du monde,le Maître l’appelle un papillon ». Quelle belle phrase ! Toute fin annonce un commencement. Nous n’avons pas à craindre de l’inconnu car l’inconnu ouvre à tous les possibles. Pas de panique, rester bien centré !! Une chance nous est offerte……A nous de la saisir !
Tout est dit dans ton article Brigitte. Saurons-nous opérer une mutation salvatrice ?
Il faut le croire… avec fermeté.
Je t’embrasse et te souhaite une très belle fin de semaine ! Claudie.
Richard Bach ! il fut un temps où il était beaucoup lu, voilà qui ne me rajeunit pas. Je ne suis pas sûre d’avoir lu ce texte-là, mais j’aime beaucoup cette image de la chenille qui devient papillon. On le sait, mais on l’oublie un peu trop souvent. Bon dimanche Brigitte (mon agrégateur de flux est encore en panne, j’ai du mal à repérer les billets de mes blogueuses ..)
C’est un livre magnifique que j’ai lu plusieurs fois et que ma maman m’a dédicacé avant de nous quitter. Je ne le savais pas et un jour, en voulant relire ce livre, j’ai eu la surprise de découvrir ses mots et cela me fait plaisir de pouvoir les partager avec toi, car ils répondent à ta question :
» Là-bas, quelque part sur une route, marche un homme. Chacun de nous peut le rencontrer… Car chaque jour renaît le soleil. »
Belle journée Plumes d’Anges, je t’embrasse
J’aime beaucoup la deuxième citation. Elle confirme ce que je ressens depuis toujours : les épreuves, les problèmes, nous font avancer, et donc, quelque part, sont positifs. des cadeaux, peut-être pas, mais en tout cas des chances.
Bisous ma Plume
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