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Nécessité d’une p(l)age blanche pour mieux appréhender le monde…
Nous sommes tous concernés,
certains faits ou nouvelles sont parfois difficiles à intégrer,
il nous faut tisser des ailes pour prendre de la hauteur,
nous retirer dans le silence.
La vie sculpte notre être,
nos réactions participent à ce travail,
là est notre pouvoir…
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Illustrations : 1/« Vallée dans les montagnes » Carl Gustav Carus 1789-1860 2/« Vue du Mont Blanc depuis le col de la Faucille » Théodore Rousseau 1812-1867.
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Apprendre à relativiser…
BVJ – Plumes d’Anges.
La neige comme une page blanche…
Le silence nécessaire.
Combien vrai.
La vie est un apprentissage constant…Essayons d’être un bon élève pour savoir en tirer le leçons.
le blanc couleur de la création j’aime bien cette idée
Un billet un peu énigmatique chère Brigitte. Parfois est nécessaire de se retirer un moment pour reprendre souffle et repartir sur un autre pied. Je te souhaite un beau week-end. Bises.
Sur chaque page blanche j’aime créer un monde soit sous la forme d’un poème, d’une chanson ou d’une histoire…
Billet d’humeur intime ,
très intimidant ,
et ce mont au sommet
si immaculé ,
et puis moi ,
et mes émois …
J’ai parfois même besoin d’une page blanche dans ma tête ! Ne penser à rien, c’est un luxe que nous offre la méditation ! Bonne soirée à toi. Bises. Joëlle
C’est vrai que ces temps-ci certains faits et nouvelles sont difficiles à intégrer. Je veux bien prendre de la hauteur, mais j’ai du mal. Ceci dit, on a découvert de nouvelles planètes….
Il nous faut tisser des ailes pour prendre de la hauteur…
Oh …oui !
Pourquoi ces mots-là aujourd’hui ?
Les belles peintures de montagnes sont plus rares que les marines, celles-ci sont très belles, merci Brigitte.
Je me tais aussi, c’est vital quelquefois.T2HW
Je t’embrasse
Page blanche, prendre de la hauteur, se retirer…hum…difficile…
Magnifique tableau depuis la Faucille, Merci et Bises.
J’ai besoin de page blanche et de silences pour réinventer le quotidien 😉
J’étais au col de la Faucille jeudi. Les pieds dans la neige et la tête dans la lumière. Longue marche silencieuse.
Sur le Petit Montrond, un troupeau de chamois prenait le soleil. Les soucis, les pesanteurs du monde paraissaient bien lointaines.
J’en ai rapporté de la force.