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« J’ai jeté cette toute petite chose que l’on appelle « Moi »
et je suis devenu le monde immense. »
Muso Soseki 1275-1351 dans « Contes Zen » d’ Henri Brunel 2003.
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Illustrations : 1/Nature morte de Abbott Anderson Thayer 1849-1921 2/ »Rhododendrons sauvages au Cachemire » Edward Molyneux XXème.
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S’ouvrir à notre vraie nature…
BVJ – Plumes d’Anges.
quoi quoi quoi le moi une petite chose !!! ah heureusement l’auteur se rattrape dans la deuxième phrase 🙂
hum !!! je craque pour le 1er tableau !!
Jeter mon petit moi, hum hum, je n’en suis pas encore là 😉
La beauté, c’est quelque chose de rare, de merveilleux que l’artiste extrait du chaos universel…
Que ta journée soit belle, Chère Brigitte !
Une toute petite chose……et tu illustres cette phrase avec quelques fleurettes….C’est tendrement joli !
Oh. La beauté, la vérité, la puissance de cette phrase.
Tout est contenu en elle.
Je suis submergée de gratitude.
J’adore la deuxième illustration !
Quand au « moi » il prend encore beaucoup trop de place pour que je sois capable de le m’en défaire …
Bonne journée
Bonjour chère Brigitte,
Se séparer de son « petit moi » pour ne faire qu’Un avec l’univers est chose la plus difficile au monde.
La rose de la nature morte est magnifique; elle me rappelle un peu le tableau de E.L Vigée Le Brun « Marie-Antoinette à la rose. » D’ailleurs cette peinture était la préférée de la reine… Bises et belle fin de semaine, douce âmie
Un Moi parfois bien encombrant…
Merci pour ce joli billet !
J’ai la faiblesse de tenir à cette « petite » chose …
C’est ballot, n’est-il pas ?
Il est vrai que la deuxième proposition est bien tentante !
Bises, Brigitte.
Je me délecte de la beauté de ces 2 tableaux ! J’admire tout particulièrement le premier avec ces reflets dans le récipient, ces couleurs tendres mis en valeur par le fond sombre et intense. Merci beaucoup pour ce partage !