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» Les Doigts de la Lumière
Frappèrent doucement à la porte de la Ville
Disant » Je suis magnifique et ne peux attendre,
Par conséquent laissez-moi entrer. »
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« Vous êtes en avance », répondit la Ville,
« Mes Visages sont endormis
Mais jurez, et je vous laisserai entrer,
Que vous n’allez pas les réveiller. »
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L’Invitée affable accepta
Mais une fois dans la Ville
Sa Mine éclatante
Éveilla Filles et Garçons
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Le Voisin dans l’Étang
joyeusement Accroupi
Lui rendit un hommage bruyant et le Moucheron
Porta un Toast à la Lumière. «
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Poème d’Emily Dickinson – (1015) – 1865.
Illustrations 1/ » Laisse-moi entrer, j’apporte un éclairage nouveau »- 1918 –
Théodorus Molkenbauer – 1871-1920.
2/ carte Happy new year – 1908 – auteur inconnu.
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Soyons attentifs, la Lumière est peut-être à notre porte…
BVJ – Plumes d’Anges.
Etre attentif est un vaste programme … que de joies en résultent !
Bonne journée Brigitte.
Elisabeth
Il est un moment à chaque aube où la lumière est comme en suspens; un instant magique où tout peut arriver… et surtout en été !
Bien à vous !
Manée
« Que la Lumière soit ! »
Très joli poème, j’aime la délicatesse des mots d’Emily Dickinson.
Belle journée lumineuse, Brigitte !
J’adore les illustrations et le poème est très beau!!
Merci à toi pour cette jolie composition!
Bisous, bisous et très belle journée
Merci, Brigitte, pour ce poème nimbé de lumière de l’extraordinaire Emily!
Les animaux(qui sont souvent nos maîtres) y ont un rôle merveilleux! Pour eux, pas de questions du style: »comment laisser entrer la lumière? », ou bien: »est-ce le bon moment pour moi? », mais une joyeuse et entière célébration de ce qui EST, tout simplement. Quelle leçon!
Je crois que la lumière entre quand nous décidons d’aimer la réalité, quelle qu’elle soit.
Que ta réalité soit lumineuse, aujourd’hui et demain, même sans grenouille ni moucheron!!
Je t’embrasse
Douce nuit, jolies Fées, le chemin est lumineux, n’ayons crainte…