Archive pour décembre 2011

Friandises…

mardi 6 décembre 2011

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On ne peut faire autrement, adieu tristesse des régimes, bonjour joie des friandises !

C’est la Saint Nicolas et cet homme bienveillant et généreux distribue des douceurs en tous genres, à nous, enfants du monde…

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« Saint Nicolas » Peinture anonyme du XIXème siècle – collection privée.

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Cette tâche est immense, il demande votre d’aide.

À vos fourneaux mesdames et messieurs, voici une petite recette de « derrière les fagots » trouvée dans le numéro 188 du magazine SAVEURS, une pure merveille !

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SABLÉS AU CACAO.

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Tamisez 210 g de farine et 20 g de cacao en poudre non sucré.

Travaillez 150 g de beurre à température ambiante  et 100 g de sucre en poudre.

Ajoutez 1 œuf entier et mélangez pour obtenir une préparation homogène.

Incorporez la farine et le cacao, une pincée de sel et 60 g de poudre d’amande.

Pétrissez rapidement sans trop travailler la pâte puis formez une boule.

Enveloppez-la de film alimentaire et réservez au réfrigérateur pendant 3 heures au minimum.

Sortez la pâte 30 à 45 minutes avant de l’étaler.

Préchauffez le four à 180 °C. Étalez la pâte sur une épaisseur de 3 mm environ et découpez des formes à l’aide d’un emporte-pièce.

Rangez-les sur une plaque recouverte de papier de cuisson et faites cuire 10/12 minutes (les sablés ne doivent pas brunir).

Laissez refroidir sur une grille puis rangez-les dans une boîte hermétique.

Ces sablés se conservent 10 jours environ.

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(J’ai ajouté une cuillère de cannelle et mis un peu plus de temps de cuisson).

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Mais on m’avait dit qu’ils se conservaient dix jours ?

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 » Adieu tristesse des régimes, bonjour joie des friandises  »

Bonne fête de Saint Nicolas et… méfiez-vous des imitations ( j’me comprends !).

Photos BVJ

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S’entraider avec joie…

BVJ – Plumes d’Anges.


Force créatrice…

dimanche 4 décembre 2011

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Mais qu’est donc ce doux PARFUM de POÉSIE qui plane alentour ?

À ma question, les ANGES répondent en chœur :


Aujourd’hui est JOUR DE FÊTE, cela se passe chez M.C.

là où les ÉTOILES brillent,

la LUNE chante,

les FLEURS s’épanouissent,

les OISEAUX dansent…

Son ÂME est si pleine de cette force créative brûlante d’AMOUR dont parle le POÈTE…

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« À quoi sert la brûlante nature

qui se trouve devant toi,

à quoi sert l’œuvre formée

par l’art, tout autour de toi,

si la force créatrice brûlante d’amour

ne remplit pas ton âme,

et ne devient pas formative

jusqu’au bout de tes doigts ? »

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J’ai hâte de découvrir, hâte de rêver, hâte de vous en parler…

TRÈS BEAU DIMANCHE À TOUS ET À TOUTES.

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« Chant du soir de l’artiste » dans « L’âme du monde »  Johann Wolfgang von Goethe 1749 – 1832.

Illustrations : 1/« La Poésie »  Raffaello Sanzio dit Raphaël 1483 – 1520  2/« Cent Fleurs »  Chen Jiayan 1539 – 1623.

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Ouvrir son cœur, ouvrir son âme…

BVJ – Plumes d’Anges.

Ouvrage de dame…

vendredi 2 décembre 2011

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Non, malheureusement, ce n’est pas moi cousant devant la fenêtre !

C’est juste une jolie dame pour imager le propos.

Oui, nous allons parler chiffons…

Vous connaissez l’adage d’Anaxagore :

« Rien ne naît ni ne périt, mais des choses déjà existantes se combinent, puis se séparent de nouveau. » ( repris par Antoine Lavoisier : « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme », je l’avais déjà utilisé dans un lointain billet).

Sachez qu’il vaut dans bien des domaines, aussi bien en chimie qu’en couture.

LA PREUVE EST LÀ !!!

Nos grands-mères avaient la « fâcheuse » manie de mettre des napperons sous chaque bibelot,

pour faire joli ou pour ne pas abimer les meubles… question de mode, question de goût.

Qu’en faire aujourd’hui ?

Les petits draps anciens qui ont amoureusement protégé les nouveaux nés depuis plusieurs générations arrivent presque au terme de leur existence.

La finesse de l’étoffe et les douces broderies laissent un parfum de nostalgie.

Qu’en faire aujourd’hui ?

Ces questions nous taraudent jour et nuit, nuit et jour.


Hasard heureux, le besoin d’un petit rideau frais et léger s’est fait sentir dans ma maison.

Alors, me direz-vous ?

Et bien ce petit napperon s’est retrouvé au cœur du blanc tissu, cousu au petit point.

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La lumière est tamisée, un vrai bonheur que de plonger son regard au travers de ces dentelles florales, je vous l’assure.

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Encore une histoire de lumière, on y revient toujours…

TRÈS BELLE JOURNÉE !

Tableau : « La couturière »   Joseph DeCamp 1858 – 1923.

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Les temps changent, le temps passe, le bonheur est là…

BVJ – Plumes d’Anges.